1. Nous sommes seuls


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fh, frousses, amour, volupté, Masturbation pénétratio,

    ... revient. J’entends le plancher qui grince, j’entends son pied qui botte la chaussure maudite (une des siennes d’ailleurs) dans un coin. Je me rends compte alors que tout ça, c’estSA faute ! Je vais lui faire payer… La voilà qui entre, radieuse, plus ou moins coiffée, comme je la préfère en fait, avec ses couettes rebelles qui lui tombent sur le front. — C’est ton soulier qui me fait souffrir tu sais…— Oui, je sais, dit-elle timidement.— Et bien comme tout cela remet en question nos projets, laisse-moi faire de toi ce que je veux, annoncé-je sans détour. À nouveau, quelque chose brille dans ses yeux. Je la connais bien, je sais ce qu’elle aime. Mes idées lui plaisent, en tout cas, c’est ce que je pense, sinon elle ne serait pas là. — Approche. Elle bouge ses jolies jambes vers le lit. — Pose ton genou ici. Je pointe de mon doigt le rebord du matelas, tout près de moi. Docile, allumée et impatiente, elle lève lentement la jambe pour l’installer tout contre ma cuisse. Je grimace, ma cheville a bougé. Sophie a écarté les cuisses, elle est ravissante, croquable. Elle sait. Je ne perds pas de temps. Sans m’arrêter de la regarder, j’empoigne sa cuisse ferme et ronde, je la cajole, remonte sur ses hanches. Ma main va vers son dos, puis revient sur ventre et son flanc. Je remonte encore, en prenant soin d’amener avec moi le pull vert. Sa respiration se fait plus profonde. Elle s’imprègne du moment. Ma main remonte encore, elle écarte un peu le bras. Je frôle son sein du bout des ...
    ... doigts, passe sous la poitrine et soulève le chandail pour dévoiler son ventre. J’approche ma bouche et lui donne un baiser. Ma langue descend vers son nombril, joue avec le petit piercing. J’entends bien son râle, je sens ses mains dans mes cheveux et sur mes épaules. Je me réinstalle contre mes oreilles et elle garde la position, mouvant lascivement son corps. Elle passe une main dans ses cheveux, l’autre est appuyée à la commode près du lit. Ainsi offerte, je ne peux m’empêcher de reluquer les courbes prometteuses de son buste, encore masquées par le tissu. Je sais pertinemment qu’elle ne porte pas toujours de soutien-gorge avec ce top, noué à son cou. De toute façon, je ne l’ai pas vue en mettre. Fermement, je relève le pull. Dans toute leur blanche splendeur, ses seins m’apparaissent. Elle prend une longue inspiration et renverse la tête en arrière. Sophie saisit alors ma main pour la poser sur son sein droit, lâchant un autre râle. De toute la force de ses petits doigts, elle force les miens à pétrir délicatement, à masser et à agacer sein et mamelon. Puis, elle passe au second, qu’elle se frotte avec ma paume, comme si elle utilisait un jouet. Sophie soupire et gémit, je suis excité, mais patient. Elle est si douce et chaude, sa peau est un peu humide, perlant de très fines gouttelettes de sueur. Je prends son poignet doucement et pose sa main sur la commode. Elle est donc de trois quarts à mon côté, se dévoilant et s’ouvrant à moi. Je frôle sa gorge et entre ses seins, ma ...