1. Nous sommes seuls


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fh, frousses, amour, volupté, Masturbation pénétratio,

    ... main descend encore frottant son ventre, le massant tendrement. Mes doigts frôlent la lisière de son pantalon, y pénètrent un instant, frottant son mont de Vénus soyeux. Sophie gémit, ondule presque imperceptiblement du bassin. Sa tête dodeline entre ses bras, elle pousse un peu son ventre avec impatience. Je défais le bouton, la voilà qui expire longuement. Je descends la fermeture éclair, la voilà qui inspire longuement, comme à l’approche d’un plongeon. J’ouvre son jean, me repaît de la vue de son string, l’empaume pour y sentir l’humidité croissante. Je frotte encore. Sophie repart, halète bruyamment. J’ai du mal à garder mon propre rythme. Ma main entre sous le tissu, touche la peau. Je change de tactique, mes doigts quittent l’approche de son sexe, elle frémit et gémit. Je prends le côté de son pantalon et tire vigoureusement. Le tissu glisse, le string avec, dévoilant la moitié d’un sexe gonflé d’excitation. J’empoigne l’autre côté, vu l’angle, j’ai du mal. Pour m’aider, Sophie se tortille. Enfin, pantalon et string sont sur ses cuisses. Ma main passe derrière, je veux observer un instant son sexe qui attend, je caresse alors ses fesses. Puis, je promène un doigt. Il passe entre ses fesses, parcourt la fesse, les hanches, revient sur le ventre, le nombril et son piercing, puis descend. Nouveau soupir. Le doigt passe sur le mont de Vénus, s’écarte un peu, contourne la fente moite, puis, effleure le sexe, et en dessine les contours, la première phalange passée entre les ...
    ... lèvres. —Ooooooh, lâche-t-elle. Enhardi, je décide de ne plus la faire attendre. Tendrement, je fais pénétrer le doigt. Sophie se cambre, pousse de petits couinements, ondule du bassin pour mieux faire entrer mon doigt. Je guide mon index en elle, fait quelques va-et-vient pour accentuer son excitation puis ajoute un second doigt. Ses gémissements se font plus forts et appuyés, ses mains se crispent sur la commode. Mes doigts la masturbent un moment, faisant grimper inexorablement son plaisir. Elle se fait houle, mordille sa lèvre en geignant. Son corps est rouge et perle de sueur. Je vois sa poitrine gonflée, ses mamelons excités et son cou qui n’en finit pas de s’étirer et de faire balancer sa tête de gauche à droite. Je décide de la caresser de mon autre main. Je la passe sur ses fesses et son dos que je comble d’attention. Ma bouche est tout près de sa peau et j’embrasse son flanc et son ventre, la mordillant quelquefois, heureux de sentir sous ma langue le tressaillement des muscles. La bosse de mon pantalon me fait légèrement souffrir, mais je suis bien trop occupé à l’amener à la jouissance. Mes doigts vont et viennent avec facilité, elle voudrait peut-être plus, mais je crois pouvoir la faire languir encore. Je sors mon pouce et viens titiller son clitoris presque entièrement décapuchonné. Elle hoquette et tout son corps frémit. J’agace son petit bourgeon et je continue mon doux doigté sans relâche. Elle aime, elle se pâme et elle est bien. Ma main remonte son dos, sa ...