1. Shéranaki


    Datte: 29/04/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, photofilm, Oral fsoumisah,

    Shéranaki était une collègue de travail. En fait, bien que je ne travaille pas directement dans son service, elle faisait partie du staff de mes supérieurs hiérarchiques. Au travail, elle n’avait guère d’amies et d’amis, car elle était très autoritaire avec tous ses subalternes. La seule exception, avec qui elle entretenait des relations plutôt amicales, c’était moi. Shéranaki était une jeune femme de vingt-cinq ans, de cinq ans ma cadette, qui, sans être un top-modèle, avait des formes relativement harmonieuses. Elle portait toujours des tenues assez rigoureuses, en relation avec sa fonction de cadre : jupe droite s’arrêtant au-dessus des genoux et chemisier boutonné assez haut, tout le contraire d’une jeune fille de son âge. Dès mon embauche, elle avait été assez prévenante, voire sympathique à mon encontre. Je n’étais pourtant pas ce que l’on appelle « un beau gosse », mon arme habituelle de séduction était plutôt l’humour. C’est peut-être parce que je l’avais amusée lors de mon entretien d’embauche, qu’elle avait cette attitude bienveillante envers moi. Nous avions pris l’habitude de déjeuner ensemble au restaurant d’entreprise, personne d’ailleurs n’aurait souhaité partager sa table. Au fil des jours, notre relation était devenue plus amicale que professionnelle. Il m’avait même plusieurs fois semblé qu’elle aurait aimé que nous soyons un peu plus que des amis, c’était peut-être simplement une idée que je me faisais. Habitant toujours chez ses parents, elle ne pouvait ...
    ... guère recevoir, mais avait quelques fois fait allusion à une invitation de ma part à visiter mon appartement. Mes relations avec les filles étaient assez normales et du genre épisodique, la chérie avec laquelle j’étais resté le plus longtemps était retournée vivre dans son studio après presque huit mois de « vie commune ». Mes rêves sexuels les plus fous me guidaient vers la domination, mais je n’avais jamais osé aborder le sujet avec mes ex. Pour moi, hormis nos relations professionnelles, Shéranaki n’était qu’une amie. Nous ne nous étions jamais vu en dehors du travail, mais pourquoi ne pas tenter ma chance avec elle ? Lors d’un déjeuner le vendredi suivant, elle me reparla de cette envie qu’elle avait, de voir où je vivais. Saisissant la balle au bond, je lui proposai : — Demain c’est ma fête, si tu veux, je t’invite chez moi. Elle accepta sans même prendre le temps de réfléchir. — Mais il y a une condition ! continuai-je.— Dis toujours, me répondit-elle.— Ici, c’est toi qui commandes, mais chez moi, je suis le seul maître à bord. Si tu viens, tu devras m’obéir en tout point. Je te préviens d’avance que tu ne trouveras pas le Joshua que tu connais au travail.— C’est d’accord, m’annonça-t-elle tout aussi rapidement. Comme notre repas touchait à sa fin, je lui proposai : — Comme c’est ma fête, inutile de m’apporter quelque chose. Comme cadeau, je veux que tu viennes dans une tenue plus sexy que ton « uniforme » de travail. Et à 20 heures précises. Elle éclata de rire, en me ...
«1234...»