Shéranaki
Datte: 29/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
photofilm,
Oral
fsoumisah,
... confirmant son accord. Le lendemain à l’heure dite, j’entendis le carillon de mon appartement résonner. Après avoir constaté qu’elle avait bien répondu à mes demandes vestimentaires, je lui proposai d’entrer. Le repas se passa sans rien de spécial, sinon de banales conversations comme peuvent le faire deux amis. La seule particularité était qu’il s’était entièrement déroulé au champagne. Sans connaître ses goûts dans ce domaine, j’étais vraiment bien tombé, elle en avait bu plusieurs coupes avec un réel plaisir. C’est au moment du dessert que j’avais prévu de passer aux choses sérieuses. En prenant une voix plus sérieuse, je lui annonçai alors : — Pour le dessert, j’ai une petite surprise pour toi : mets ce foulard sur tes yeux, et je ne veux plus t’entendre parler, sauf si je t’interroge. Soit tu joues le jeu avec ce bandeau, et tu devras faire tout ce que je demande, soit la soirée se termine maintenant, et tu rentres chez toi. À ma grande surprise, elle plaça le bandeau sur ses yeux, et attendit sans rien dire. Il fallait à présent que je joue sérieusement mon rôle de Maître débutant, et que je vive mes fantasmes. Je la guidai au centre de la pièce, et lui demandai : — Commence à déboutonner ton chemisier. C’est là que tout allait se jouer. Soit elle m’obéissait, soit elle partait en claquant la porte en me traitant de malade. Une fois encore, elle me surprit en approchant ses mains de son corsage. Le temps que je réalise, la moitié des attaches étaient ouvertes. J’avais ...
... également prévu, lorsqu’elle aurait les yeux bandés, de prendre des photos souvenirs de cette séance. Quand je fus enfin prêt avec mon appareil, son chemisier était totalement ouvert. Un magnifique soutien-gorge rouge m’apparut alors, d’une taille qui ne paraissait guère adaptée, car ses seins semblaient vouloir jaillir de leur carcan dès la première occasion. La prude Shéranaki du travail cachait bien son jeu, ou alors elle avait fait un effort pour cette soirée. Je passai alors derrière elle, et tirai doucement le fin vêtement de ses épaules vers ses bras. Elle ne marqua pas d’opposition, et le corsage chuta alors lentement vers le sol. Sa poitrine, que j’estimai à 95 C, voulait vraiment se libérer de son entrave. — Tu fais pareil avec ta jupe, à présent. Je m’étais placé face à elle, et continuai mes prises de vues. Shéranaki dut faire un léger effort avec son bassin, pour que la jupe rejoigne le chemisier. Elle était à présent semi-nue devant moi, dans un magnifique ensemble vermeil des plus sexy qui soit. Heureusement qu’elle avait les yeux bandés, car elle n’aurait pas manqué de voir la bosse qui déformait l’entre-jambes de mon pantalon. Mais je pouvais constater, à son sourire, qu’elle devait bien se douter de ma réaction. Même dans mes rêves, je n’aurais jamais pensé vivre cela réellement. Je la laissai alors quelques minutes ainsi, le temps de prendre d’autres photos. Mais je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin. — Dégrafe ton soutien-gorge. Après un léger temps de ...