1. Shéranaki


    Datte: 29/04/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, photofilm, Oral fsoumisah,

    ... clichés supplémentaires. Plusieurs minutes se passèrent avant que je continue mon plan d’attaque. — Remets-toi à nouveau sur le dos. Elle obéissait toujours à mes ordres sans une réflexion, mais une nouvelle fois sans écarter les cuisses. — Tu as du mal à comprendre, tu seras donc punie. Elle saisit trop tard, mais finalement ouvrit ses jambes. — Après avoir découvert ton corps, je veux maintenant que tu me dévoiles ton âme. Je vis dans son visage une réaction de surprise, peut-être la première réelle de la soirée. Elle pensait peut-être qu’à présent j’allais lui faire l’amour, ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manquait. Mais ce que je désirais, c’était connaître sa sexualité, afin de pouvoir en tirer parti. Je lui posai alors d’innombrables questions sur sa vie sexuelle. Elle répondit à toutes mes interrogations, même si parfois je sentais une vive réprobation de sa part. J’appris alors qu’elle avait fait l’amour pour la première fois à quinze ans, avec un garçon de son âge. Qu’elle n’avait connu que quelques garçons auxquels elle ne s’était pas attachée. Qu’elle n’avait jamais eu d’expériences à plusieurs, ni avec d’autres filles. Qu’elle ne se masturbait pas, et qu’elle n’avait jamais accepté la fellation ni la sodomie, et bien d’autres particularités qui me serviraient une prochaine fois, si elle consentait à revenir ici. Je n’avais pas cessé mes caresses durant tout ce temps, afin de la garder dans un état d’excitation intense. Maintenant que je savais tout ce que ...
    ... je voulais, il était temps de bien finir cette soirée. J’appuyai alors mes caresses, et en quelques secondes, elle eut un orgasme assez intense. Je l’embrassai alors tendrement en lui retirant son bandeau, et en lui disant : — Je te remercie pour cette soirée, maintenant il est temps que tu retournes chez toi. Si cette soirée t’a plu, tu pourras revenir, mais tu sauras à présent ce qui t’attendra. Elle se rhabilla, m’embrassa tout aussi tendrement, puis quitta mon appartement toujours sans un mot. Depuis qu’elle avait commencé à se dévêtir, elle n’avait plus prononcé une seule parole. En nous retrouvant le lundi au boulot, ni elle ni moi n’avons évoqué cette soirée. Il fallut attendre le vendredi pour qu’elle rompe le silence : — J’ai beaucoup aimé cette soirée, si tu veux, je suis libre samedi, et je peux revenir te voir. Je marquais un point, elle reconnaissait implicitement que c’était moi qui commandais. Je pris alors mon temps avant de lui répondre : — Si tu acceptes les conditions que je t’ai données samedi dernier, je t’attendrai à 20 heures. Même tenue sexy, mais cette fois je ne veux aucun sous-vêtement, et que tu sois épilée intégralement. Le lendemain soir, le début de soirée se déroula à l’identique de la semaine précédente : repas au champagne, et discussions amicales entre amis. Après le dessert, je mis ma casquette de « Maître » pour reprendre les choses en main. Cette fois, je ne lui mis pas de bandeau, et lui annonçai : — Déshabille-toi, et montre-moi si tu es ...
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