Shéranaki
Datte: 29/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
photofilm,
Oral
fsoumisah,
... réflexion, elle mit mes désirs à exécution. Il ne me restait qu’à tendre la main pour ôter ce cache, et découvrir sa magnifique poitrine. Attrait auquel je ne pus résister longtemps, le haut rouge échoua près du reste de ses habits. Lorsque ses seins furent totalement dévoilés, Shéranaki eut un petit geste de pudeur pour essayer de les masquer. Je l’arrêtai immédiatement d’un « Tst, tst » assez sonore. Son mouvement s’arrêta immédiatement en plein élan, puis ses bras redescendirent le long de son corps. Son sourire disparut aussitôt, le jeu semblait aller plus loin qu’elle ne le pensait, mais elle n’eut pas le courage de me le dire. — Il ne te reste plus qu’à descendre ton string. Son temps de réaction fut assez long, il fallut cette fois que j’intervienne sèchement pour qu’elle termine son strip-tease. — Dépêche-toi, j’ai horreur qu’on discute mes ordres. Lorsque l’ultime vêtement vint rejoindre ses congénères, Shéranaki serra imperceptiblement ses cuisses. Ma réaction fut immédiate. — Qui t’a autorisé à resserrer tes cuisses, écarte tes genoux. Je me surpris moi-même par ce ton autoritaire, intonation qui impressionna également Shéranaki. Ses articulations s’écartèrent alors l’une de l’autre, malgré sa volonté. Nouvelle pose immobile, nouvelles photos, et toujours pas un mot de ma « victime ». Je la dirigeai alors vers ma chambre, et lui intimai l’ordre de s’allonger, en mettant ses mains derrière sa tête. Quand Shéranaki fut en position, je m’assis à côté d’elle et ...
... plaçai une main sur ses cuisses. Je restai ainsi quelques instants à la caresser doucement. Puis je mis également l’autre main entre ses cuisses, pour l’obliger à les écarter davantage. Quelques secondes plus tard, j’avais obtenu ce que je voulais : des cuisses bien ouvertes. Je vis que Shéranaki était gênée par cette situation, mais peut-être également chaudement troublée, car sa respiration me semblait plus haletante. En tout cas, elle n’avait plus l’air d’avoir envie de me résister. — Maintenant, tu devras toujours garder les jambes écartées l’une de l’autre, quelle que soit ta position, assise, debout ou encore couchée. J’alternai mes caresses de ses cuisses à son mont de Vénus et à ses seins. Mes câlineries étaient plutôt des frôlements, des effleurements qui eurent le don de l’exciter au plus haut point. Stoppant net mes gestes lorsque je vis qu’elle commençait à être trop excitée, je lui demandai alors de se coucher sur le ventre. Elle avait déjà oublié mes recommandations, je dus les lui rappeler. — Écarte tes jambes. C’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine fois tu seras punie. Elle était aussi magnifique du côté pile que du côté face. Il fallut que je fasse un gros effort pour ne pas lui sauter dessus immédiatement. Mais le but de cette soirée n’était pas que je prenne rapidement mon pied, il fallait que je lui fasse apprécier cette situation, pour qu’elle revienne, et que je puisse aller encore plus loin. Je n’en n’oubliai pas pour autant de faire quelques ...