Shéranaki - Histoires de Sexe

Shéranaki

... aussi douce que le jour de ta naissance. Et je te rappelle que je ne veux plus entendre le son de ta voix. Shéranaki me fit alors un langoureux strip-tease, et attendit mes ordres. — Tu as déjà oublié les consignes de la semaine dernière. J’avais décidé d’être gentil avec toi, et d’oublier la punition que je t’avais promise, mais tu m’obliges à te punir. Je te dirai tout à l’heure en quoi elle consiste. Elle écarta instinctivement les cuisses en baissant la tête. — On va débuter la soirée par une séance photo.— Non ! dit-elle d’un cri venu du cœur.— Tu oublies, premièrement que tu dois faire tout ce que je te demande, et deuxièmement que tu n’es pas autorisée à parler. Puis je lui montrai l’ordinateur sur le bureau. En jetant un œil, elle aperçut les photos que j’avais prises le samedi précédent, et qui tournaient en boucle en fond d’écran. — C’est juste pour compléter cette magnifique série. Ajoutai-je pour finir de la déstabiliser. À son attitude, je compris qu’elle accepterait à présent de prendre toutes les poses que je lui imposerais. Cette fois, je pus bien prendre mon temps pour réaliser de belles photos. Debout, couchée, à genoux, de face, de dos, aucune partie de son corps ne fut oubliée. Il ne me restait que son côté le plus charnu, ainsi que son petit trou à immortaliser pour l’éternité. — Mets-toi à quatre pattes, les fesses de mon côté. Ses seins qui pendaient entre ses bras m’excitaient au plus haut point. Je me mis également nu pour être à l’aise, et continuai ...

... mes prises de vue. Lorsque j’eus terminé, je n’en pouvais plus d’excitation, il était temps qu’elle me montre si elle était douée. — J’ai réfléchi à ta punition, pour cette première, je ne vais pas être trop dur. Je vais me contenter de mettre toutes ces magnifiques photos, sur mon ordinateur au boulot. J’espère que personne ne viendra à mon bureau pendant mon absence. Un nouveau « non » me vrilla les oreilles. Je n’avais pas du tout l’intention de faire cela, mais c’était juste pour avoir encore plus d’emprise sur elle, que je l’avais dit. — Tu es décidément bien trop bavarde, mais je serai magnanime pour une fois. J’annulerai cette punition, si maintenant tu te décides à vraiment faire tout ce que je te demande, sans plus aucune hésitation et sans un mot.— Je te le promets, me répondit-elle à peine eussé-je fini ma phrase. Avec cette petite menace, j’étais à présent sûr qu’elle ferait tout pour me faire plaisir. Je me demandais tout de même pourquoi une fille si autoritaire en arrivait à passer par toutes mes volontés. Soit elle était amoureuse, soit elle avait découvert le plaisir de la soumission, ou peut-être les deux. Dans tous les cas, j’étais bien décidé à réaliser tous mes fantasmes grâce à elle. Ce qui me plaisait avant tout dans les relations sexuelles, était de sentir la caresse des lèvres, d’une langue ou d’une bouche sur ma partie la plus intime. Jusqu’à présent mes conquêtes n’étaient guère portées vers ce subtil plaisir masculin, j’allais pouvoir me rattraper. ...