1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bien fait comprendre ? — Parfaitement clair, mais je vous rassure je suis civilisé. À propos, je me prénomme Stéphan ! — Ah oui bien sûr quel idiot je fais… elle c’est Claude et moi Michel ! Nous pouvons également nous tutoyer si tu veux. — À votre aise, je suis d’un naturel doux et sociable. Après tout c’est votre femme et vos jeux… c’est bien d’un jeu qu’il s’agit non ? — Oui… enfin on peut l’interpréter comme ça. C’est aussi une première fois pour nous dans ce domaine, mais je te le répète c’est elle qui décide de tout. — Bien ! Je suis à vous… enfin surtout à elle si vous voulez. — Merveilleux ! Alors, suis-moi ! Ta voiture est sur le parking ? — Oui, je vous suis et nous allons loin ? — Non ! Quelques kilomètres tout au plus… Ensemble, Stéphan et Michel quittèrent l’établissement comme deux vieux amis sous les yeux de la jeune barmaid. Les choses commencèrent à se corser à l’approche de la voiture du couple. Claude attendait sagement assise sur le siège passager de la berline familiale. Elle arriva rapidement au-devant des deux hommes. — Je monte avec vous ! Tu rentreras seul mon petit bonhomme. Il ne va pas crier ni hurler si je repars avec vous, rassurez-vous. Il faut que l’on se chauffe tous les deux, n’est-ce pas avant de baiser ensemble devant lui… ça convient à tout le monde ? Elle ne laissa à aucun des deux le droit de commenter sa décision et prit la main de Stéphan. — Moi c’est Claude et vous ? — Stéphan… mais vous… êtes sûre… que… — Ne discutez pas Stéphan, ...
    ... venez ! Allons-y ! Mon mari n’a que ce qu’il mérite et je suis certaine que ce gentil garçon bande déjà à m’imaginer avec vous ! Allons venez ! Où est votre voiture ? — Elle n’est pas aussi luxueuse que la vôtre… je tiens à vous le dire ! — On s’en fiche ! On ne va pas baiser dans votre carriole, alors ! Les deux-là quittèrent Michel, planté là sur un parking, à quelques kilomètres de leur domicile. Il suivit du regard le nouveau couple ainsi formé, et ce jusqu’à leur montée dans une guimbarde bringuebalante qui n’avait plus de voiture que le nom. Le temps de démarrer et la bagnole qui jadis devait être blanche passait devant lui. Il enclencha la première et se mit en devoir de suivre à bonne distance son épouse qu’il imaginait sur le siège, près d’un autre mec. Cette vision des choses lui rappela cruellement que c’était lui qui avait déclenché cette situation. D’autres images ensuite se superposèrent à celles que son esprit tentait de mettre sur pieds, il repensa à cette fameuse soirée. Finalement, Claude avait tous les droits ce soir, ça ne rétablirait jamais l’équilibre. Les repose-têtes empêchaient de voir quoi que ce soit, et la lumière de ses phares n’arrivait pas à lui montrer ce qui pouvait se passer dans l’habitacle de la voiture qui le précédait. Mais son imagination faisait son travail et il bandait déjà comme un taureau depuis qu’ils avaient repris la route. Il serrait ses doigts sur le cercle du volant, à s’en blanchir les jointures, ses mâchoires aussi bloquées, le ...
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