1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... faisaient grincer des dents. Intérieurement il se traita d’imbécile, comme si cela pouvait changer quoi que ce soit. À trop tenter le diable n’avait-il pas volontairement ouvert la boite de pandore ? La douleur de savoir que… mais non… il était persuadé qu’elle ne ferait pas cela… — oooOOooo — La vieille Peugeot avançait sur la route et le chauffeur écoutait sans rien dire la voix mélodieuse de sa passagère. La nuit profonde ne lui permettait guère de jeter un coup d’œil sur les cuisses légèrement dénudées de la belle femme qui avait pris place à ses côtés. De temps à autre, la voiture suiveuse balayait l’intérieur de ses phares et Stéphan admirait subrepticement les genoux découverts de la brune. Elle parlait, parlait pour conjurer cette trouille qui lui nouait les entrailles. Le jeune homme ne savait pas quoi lui répondre. À aucun moment il ne fit le moindre geste déplacé, se contentant de fixer la route et de simplement la regarder à la dérobée, lorsque les lumières le lui permettaient. — Mon salaud de mari aura ce qu’il mérite… vous pouvez être sûr que nous allons, enfin que vous allez me faire l’amour et il regardera jusqu’au bout… je ne veux pas qu’il me touche, seulement vous, ça l’apprendra ! Elle continuait de monologuer, sans vraiment se préoccuper de celui qui conduisait. Elle tentait de se rassurer, mais au fond d’elle l’envie qui couvait l’obligeait à ouvrir et à refermer ses longues jambes. Sans culotte, ses lèvres s’ouvraient et elle ressentait de plus en ...
    ... plus cette pointe de désir que plus rien n’arrêtait parfois. Ce gamin qui la ramenait chez elle, ça aussi c’était encore une connerie ! Pourquoi avoir voulu qu’il la raccompagne ? Par bravade et pour faire mal à Michel, mais elle n’était pas sûre d’avoir atteint son but. Incroyable, elle ne se savait pas capable de faire une chose pareille. Et quand dans un virage serré, elle se trouva projetée vers le conducteur, elle s’aperçut que dans sa panique, elle n’avait pas même attaché sa ceinture. Mais sa main vint se poser sur la seule chose qui pouvait la retenir, à savoir la cuisse du garçon. Le chauffeur tenait le volant bien en main et il fut le premier surpris de sentir soudain sur le tissu de son pantalon une patte chaude qui se crispait. Il se concentra davantage sur le virage, mais à la sortie de celui-ci, alors que la route redevenait droite, la petite menotte palpitante n’avait pas repris elle, sa direction initiale. La chaleur qu’elle transmettait à Stéphan lui donna comme un coup de fouet et son sexe ne trouvait plus assez de place pour se loger correctement dans son futal. Cette Claude ne pouvait plus ignorer son érection qui tendait le tergal. Merde… comment pouvait-elle laisser sa paluche si près de sa queue ? Les doigts de Claude venaient d’effleurer, presque par inadvertance quelque chose de dur. Elle n’avait pourtant qu’un but, se retenir, s’agripper afin de ne pas basculer sur le chauffeur. Et maintenant que sa menotte avait… senti… elle se demandait comment la ...
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