Non ! Rien de rien ! (1)
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... retirer sans qu’il ne se pose trop de questions. Cette chose était raide et tendait à outrance le pantalon du jeune homme. La première pensée de la femme fut qu’elle touchait un autre sexe que celui de Michel. Puis elle se dit que finalement l’autre n’avait pas bougé, que ce n’était pas si compliqué et que c’était bien ce que voulait son mari… après tout ! Elle ne bougea plus, s’arrêtant par moment de respirer, tant elle avait mauvaise conscience. — Excusez-moi… je voulais simplement… ne pas vous tomber dessus ! — Vous ne me dérangez pas ! Je… je crois que j’adore ça… Pour sortir ces mots, les cracher plutôt, Stéphan venait de faire un effort violent. Son cœur battait à tout rompre et il crut un vraiment un instant qu’il allait s’arrêter. L’adrénaline montait d’un cran dans le sang du garçon qui serrait à nouveau les dents, de peur de quitter la route. Derrière, la voiture suiveuse restait à bonne distance. Soudain sa passagère lui fit signe de ralentir. Elle lui désigna de la main, l’entrée d’un chemin à peine visible depuis la route principale. Il le prit doucement et la brune pinça son sexe de l’autre main. —Roulez doucement ! Nous allons arriver à notre portail. De son sac, elle venait d’extraire une télécommande et les deux vantaux s’ouvrirent sans bruit. Les deux voitures longèrent un petit muret bordant la voie gravillonnée qui filait en pente douce vers une bâtisse sombre. Le jeune homme vit dans ses phares un magnifique chalet plongé totalement dans la nuit et à ...
... quelques mètres de là, une masse plate et lisse d’eau. Mentalement il songea que certains avaient bien de la chance de résider dans de pareils endroits. Le lac de Gérardmer jouxtait la demeure de ce couple, pas vraiment des pauvres quoi ! La berline venait elle aussi de s’arrêter sur une large esplanade en graviers. Les trois personnages se tenaient maintenant près d’une porte d’entrée, de laquelle la femme, d’une main tremblante cherchait fébrilement la serrure. Quand jaillit enfin une lumière trop vive, le maitre des lieux invita Stéphan à pénétrer dans la demeure de bois. Désormais, il ne pouvait plus reculer, mais en avait-il eu seulement une fraction de seconde l’envie ? Excitante cette situation finalement et après tout… peut-être qu’il allait… enfin… il verrait bien. L’intérieur également sentait le fric à plein nez… — oooOOooo — Claude ne savait plus sur quel pied danser. Ils étaient là les deux, à la suivre des yeux et aucun ne prononçaient une parole. Son ventre n’était plus qu’une immense boule de feu. Un savant mélange de peur, d’envie, qui la crispait au plus haut point. — Bon et bien vous savez pourquoi on est là ! Alors, passez dans le salon ! Et toi sers-nous un verre ! Quelque chose de costaud, j’en ai besoin ! Comme Michel ne bronchait pas, elle le poussa vers le salon. — Je reviens dans une minute alors sers donc un verre à MON invité. Elle avait particulièrement insisté sur le « mon », et son mari fit signe à Stéphan de le suivre. Le salon… une belle grande ...