1. Non ! Rien de rien ! (1)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Une relation avec le rictus qui persistait sur le visage de l’homme en vis-à-vis ? Stéphan vit la brune, soudain tenter de se lever, s’y reprendre à plusieurs reprises, pour enfin se tenir bien droite devant la table, les yeux noyés dans ceux de son probable mari. Il devina plus qu’il ne vit le geste de cette dernière pour laisser tomber au sol sa serviette, elle se baissa pour ramasser le petit chiffon lie de vin et le garçon eut la surprise de voir la dame qui de sa main libre faisait glisser une autre pièce d’étoffe de couleur blanche, le long de ses cuisses. Ses mouvements rapides ne furent pas visibles pour les autres occupants du restaurant, mais Stéphan n’en avait pas perdu une miette. L’air de rien, la femme brune venait de quitter sa culotte, au nez et à la barbe de tous. Et ceci fit qu’une érection monumentale gagna le pauvre serveur. Michel vit Claude se lever ! Elle avait le regard fixe, mais bien planté dans les yeux de son mari. Elle laissa choir de manière ostentatoire sa serviette, se baissa comme pour la récupérer, et elle fit de son autre main couler sa culotte vers ses chevilles. Le reste fut un jeu d’enfant. Levant un pied, puis l’autre elle recouvrit la culotte dans la serviette et jeta l’ensemble sur les genoux de son compagnon. Elle se remit à table comme si de rien n’était. Apparemment personne n’avait saisi le manège et elle se sentait autant trahie que soulagée. Ses fesses de toute manière n’étaient pas à la vue de tous. Le visage de son mari sembla ...
    ... se détendre et son sourire figé disparut. Cette fois, le sang de son visage parut se retirer, et la femme se dit que finalement elle avait marqué un point, bien piètre victoire. — Voilà tu as ta réponse, mais tu peux être sûr que ce genre de petit jeu te fera pleurer ! Je vais maintenant jouer et sans doute regretteras-tu ce que tu m’as imposé ce soir ! — Je t’aime Claude ! — Parce que tu appelles cela de l’amour toi ? C’est abject ! Mais tu es satisfait ? Tu me voulais nue sous ma jupe, c’est fait ! Tu veux que je baise devant toi ? Alors ! Vas-y, trouve-le ton mec ! Sinon c’est moi qui en cherche un et je te prie de croire que tu vas t’en repentir. — Rien ne presse… je voulais seulement m’assurer jusqu’où tu pouvais aller ! — Et bien c’est ton soir mon bonhomme, je vais te montrer de quoi je suis capable ! — Chut ! Ne parle pas si fort… s’il te plait. — Tu as regardé toi pour savoir qui pouvait t’entendre quand tu voulais que je te donne ma culotte ? Tu t’en es inquiété de ce que je pouvais penser ou ressentir ? Alors, ou tu ramènes un type à la maison ce soir ou je sors et me fais baiser par le premier venu… Tu as allumé le feu, et bien éteint donc l’incendie. — Calme-toi… Je règle l’addition et nous y allons ? — Non ! Tu n’as rien compris ! Ou nous rentrons à trois au chalet, ou je rentre seule et ce sera demain dans la journée, car moi j’ai envie de faire l’amour et pas avec toi… Tu saisis bien cela ? — Mais… ce n’était pas… — Pas quoi ? Tu voulais me voir tringler avec ...
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