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Non ! Rien de rien ! (1)
Datte: 30/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... maintenant et elle se demanda si elle serait capable de… la rage n’était pas une bonne conseillère finalement. Son mari ne disait plus un mot se contentant d’attendre, sans broncher qu’elle ait digéré sa déconvenue. Le restaurant et ses occupants, malgré le remue-ménage qu’elle avait fait, ne semblaient pas les suivre du regard plus que cela. Les couples et dineurs du soir du reste, commençaient à être moins nombreux, les derniers finissant leur café. Les leurs arrivaient du reste, avec le jeune homme qui s’approchait de la table. Les micros tasses dansaient presque sur le plateau lorsqu’il les déposa d’une main peu sûre devant les deux partenaires de la table douze. La femme semblait moins agitée. Elle dévisagea Stéphan de la tête aux pieds et il se sentit comme une bête de foire que l’on soupesait, jaugeait avant de l’acheter. Bon Dieu qu’elle était belle, avec sa crinière brune lui tombant sur les épaules, une mèche en accroche-cœur sur le front. Son envie d’elle, ou d’une fille en général se centralisait désormais exclusivement sous sa braguette. Comme chez tous les hommes quoi ! Quand il avança la main pour placer devant elle la minuscule tasse de breuvage noir, c’est l’homme face à elle qui l’interpella. — Alors ? Vous avez réfléchi jeune homme ? Vous n’allez pas laisser cette belle femme s’ennuyer seule avec un vieux comme moi ? — Tu permets ? Je suis assez grande pour faire mes commissions toute seule ! Mais vous avez bientôt fini votre service ? Il ne savait que ...
... répondre, la bouche entrouverte, abasourdi par la rapidité des évènements. Mais dans sa gorge les mots ne voulaient pas passer. Il dut faire un réel effort pour qu’enfin ceux-ci s’échappent de son gosier en feu. — Je veux bien vous suivre, si ce n’est pas du pipeau ! D’ici une petite demi-heure si vous voulez patienter… le café est offert par la maison. — Pas de problème ! Faites signe à mon mari quand vous serez prêt ! Vous avez un véhicule ? — Euh… oui bien sûr ! — Parfait ! Alors vous nous suivrez… Stéphan ne dit rien, se contentant de hocher du chef pour faire savoir qu’il avait saisi et qu’il adhérait à tout ce que la brune lui racontait. Il reprit le chemin de la cuisine, conscient que les yeux féminins s’appesantissaient sur ses fesses. Il avait déjà mal aux bourses d’être en érection depuis si longtemps. Il craignit un instant en y songeant trop, d’éjaculer sans aucune aide extérieure. Un sacré joli lot que cette femelle et sans mentir si son corsage valait son verbiage… après tout, il ne risquait qu’un bon moment et il serait toujours temps de filer si les choses prenaient une mauvaise tournure. Pourquoi rater une occasion comme celle qui se présentait ? Il s’agita le plus possible pour que les tâches qui lui incombaient soient rondement menées. Inutile de leur faire perdre patience. — oooOOooo — — Tu es content ? Tu vas avoir ce que tu voulais… Mais tu ne viendras pas te plaindre après… tu peux compter sur moi pour me faire plaisir maintenant. — Tu ne te trouves pas un ...