La promenade
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
jardin,
parking,
ecriv_f,
... d’ailleurs il ne rencontre aucune résistance. Elle se plaque contre cette main, et de l’index il touche le clitoris : il est si gonflé qu’il se rend compte qu’elle va jouir. Il retire sa main et rabat la robe sur le cul de la fille qui se retourne vers lui. Elle est tellement excitée que les jambes lui manquent. Il se rajuste en lui lançant un regard de noyé puis sourit. Il lui enlace la taille et elle s’appuie sur lui en titubant légèrement sur ses hauts talons. Il dit : — Je sais où je veux t’emmener. Il l’entraîne dans la rue. Cette fois, la marche se fait rapide. Ils ont tous deux le souffle court, elle sent tout son sexe palpiter, la pulsation de son coeur dans son clitoris, le jus brûlant qui coule de son con. Ils arrivent devant le Jardin du Luxembourg, entrent et longent les grilles jusqu’à un coin assombri par les arbres. Il adosse la fille au muret, lui prend la taille des deux mains et la hisse sur le rebord. Pressé, sans la regarder, il libère sa queue du pantalon avec un soupir de soulagement, il la regarde et la serre dans sa main. Puis il lève les yeux vers la fille, son visage est à la hauteur de son con. Ses mains montent vers les seins de la fille, écartent le fin lainage et, du bout des doigts, font sortir les seins durcis de la combinaison en soie. Elle est appuyée contre la grille, la peau dénudée de la gorge, des seins et des jambes en taches claires dans la nuit. Il pose les mains à plat sur les genoux de la fille et remonte, repoussant la soie et lui ...
... écartant les jambes, et dénude son sexe. Les mains de l’homme passent sur les hanches et enserrent les fesses qu’elle soulève un peu pour lui assurer une meilleure prise. Son visage s’approche du con de la fille, elle sent son souffle sur elle, ses hanches partent automatiquement à la rencontre de la bouche de l’homme. Mais il la tient bien, et l’empêche de bouger. Il prend son temps, respire, les yeux mi-clos, l’odeur qui émane d’elle et pointe sa langue très bas, à l’ouverture du con. Puis il remonte en léchant à pleine langue, sans trop appuyer : les petites lèvres puis le clitoris, que la caresse décapuchonne pour offrir un bouton rose et brûlant. Il sent distinctement sur sa langue la contraction. Il se détache d’elle et murmure : — Juste là. Je vais te sucer juste là. Puis il se déplace légèrement sur le côté, écartant encore un peu plus la fille en lui faisant passer une jambe par-dessus son épaule. Il sent le talon aiguille contre son dos. Il penche la tête jusqu’à ce que sa bouche soit parallèle à la fente de la fille. S’aidant de ses doigts, il ouvre la chatte et, délicatement, prend tout le clitoris et les petites lèvres dans sa bouche. Elle pousse un gémissement étouffé et il commence à sucer, doucement, comme on suce une orange juteuse. Il boit le jus qui s’écoule d’elle, elle sent sa langue aller et venir, la bouche de l’homme ne la lâche pas. Elle a posé sa main sur la nuque de l’homme, et elle sent son clitoris aspiré dans cette bouche vorace. Il a glissé deux ...