1. Noir et Blanc


    Datte: 03/05/2018, Catégories: f, fh, fhh, fhhh, fbi, hplusag, couleurs, médical, parking, Collègues / Travail voiture, collection, noculotte, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, yeuxbandés, conte, sorcelleri, contes, vengeance,

    ... dire qu’elle a besoin. Elle va toujours dans le même immeuble, même si bien sûr, ce ne sont pas toujours les mêmes hommes qui la ravagent par tous les trous. Par chance, elle a pris un immeuble au hasard, mais celui-ci est habité par une immense majorité de célibataires, qui ne rechignent d’autant moins à la tâche qu’aucune épouse ou concubine ne leur demandera des comptes. Par contre, ce qu’elle ne sait pas, c’est que son petit manège a commencé à intriguer son cher époux… - --ooooOoooo--- Et le lendemain matin, quand elle se rend dans le bureau de son cher Ernest-Hubert pour y recevoir sa petite giclée hebdomadaire et du matin, l’accueil est glacial. En guise de bonjour, il lui balance un paquet de photos grand format au travers de la figure. — Que tu te fasses troncher par qui tu veux, je n’en ai jamais rien eu à foutre tant que moi j’avais ce que je voulais, et que mes clients étaient contents. Mais que tu ne baises plus avec moi que du bout des lèvres, qu’ils n’aient plus droit à rien, je serais prêt à l’accepter si, pendant ce temps, tu ne passais pas ton temps à te faire niquer par des monceaux de noirs ! Différence d’avec Marie-Claire, pour Ernest-Hubert, tous les hommes se valent, il n’a jamais été raciste pour deux ronds. Après, que pour lui le monde entier, qu’il soit peuplé de blancs, noirs, jaunes ou je ne sais quoi, puisse bien crever la gueule ouverte pourvu qu’il soit plus riche aujourd’hui qu’il ne l’était hier, c’est un autre problème. — Alors, comme tu ...
    ... le sais, notre mariage est bidon, il n’a aucune valeur. Tu as donc deux minutes pour te casser et ne plus jamais revenir. Barre-toi, salope ! Déjà la porte a claqué derrière elle. Lorsqu’elle veut reprendre sa voiture, celle-ci a disparu. C’est donc en métro qu’elle se rend à son domicile, où elle tape le code qui devrait lui permettre d’entrer… Mais rien ne se passe ! Celui qui est désormais son ex l’a fait changer… Son téléphone ? Pareil, la ligne a été coupée. Alors, totalement désemparée, elle essaie de mettre deux idées bout à bout, et la seule qui lui parvienne à l’esprit est de trouver un endroit où elle pourra se poser et réfléchir, et pour cela, rien de tel qu’un hôtel discret… Mais au moment de payer avec sa carte, elle se rend compte que ses comptes sont également bloqués ! Cette fois, arrivée sur le trottoir, c’en est trop, elle éclate en sanglots. Et les choses ne s’arrangent pas lorsqu’elle se rend chez ceux qu’elle croyait être ses ami(e)s, qui ne prennent même plus la peine de lui ouvrir la porte… C’est beau, la solidarité, chez les gens de la haute ! Pendant tout l’après-midi, elle erre comme une âme en peine, sans savoir où aller. Lorsque la nuit tombe, elle n’a plus qu’une seule ressource, aller dans le fameux immeuble où elle se rend d’habitude pour satisfaire ses besoins sexuels. Lorsqu’elle en franchit le seuil, ils sont une bonne quinzaine à l’attendre, c’est un vieil homme en habit traditionnel qui prend la parole. — Ben alors, Marie-Claire, la roue ...