1. Le train gémira trois fois


    Datte: 06/05/2018, Catégories: f, fh, gros(ses), lunettes, vacances, train, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné,

    ... entendre, car la seule voix qui occupe maintenant mon esprit est celle qui résonne dans les écouteurs : sa voix. — Plus fort… Encore… Je veux sentir tes mains attraper mes hanches et ta peau contre la mienne… Je veux être à toi, que tu me mordes absolument partout, même les endroits les plus inavouables… Lèche-moi, je t’en supplie, mon cul est tout à toi. Mes seins sont tout à toi. Ma chatte a besoin… de toi… La voix s’intensifie, gagne en puissance et en intensité. Je sens mon sang bouillir, mon sexe se raidir alors que je la vois retrousser lentement sa jupe. Elle prend son temps, savoure son effet. Ses jambes restent closes tandis qu’elle dévoile centimètre par centimètre ses cuisses généreuses et luisantes de sueur. J’aperçois une mince culotte rose, qui paraît ridiculement petite pour sa taille. On la croirait prête à disparaître soudainement, comme si elle se rendait compte de sa propre inutilité en cet instant. Elle allonge ses jambes nues au-dessus de la table, posant ses pieds sur mes épaules, et entreprend de faire glisser son sous-vêtement Lentement. Toujours lentement. Et toujours sa voix, tout près de mon oreille, qui me torture et me tente, entre deux gémissements. — Je suis restée toute seule à l’hôtel, ce soir… et je me suis dit que c’était une bonne occasion de jouir… en pensant à toi. Je n’ai pas mes jouets. C’est dommage. Mais tu sais, je suis plutôt douée avec mes doigts. Et pour dire la vérité… avant de brancher ce micro, j’ai déjà joui trois fois… ...
    ... D’un geste habile de ses pieds, elle laisse tomber la petite culotte sur mes genoux et replie ses jambes contre elle. Elle jette un coup d’œil à l’écran de l’ordinateur et pianote quelque touches. J’entends le volume de l’enregistrement monter par petites touches à peine perceptibles. — Trois fois… Une fois dans la douche, en rentrant de la réunion… J’ai joué avec le pommeau, et… c’est venu tout seul. Une seconde fois en rentrant du restaurant… Parce que j’avais peut-être bu un verre de trop et que le serveur était… tout à fait charmant. Et une dernière fois… juste là dans mon lit… pour me donner envie… Insatiable, je sais. Ma respiration se fait de plus en plus difficile. Plus rauque, plus haletante. Je jette parfois un coup d’œil du côté de la porte, terrifié à l’idée qu’un contrôleur ou un voyageur perdu se décide à passer la tête pour voir ce qu’il se passe dans ce petit habitacle de verre, mais chaque fois mon regard retombe sur elle, ensorcelé. Je vois sa main se glisser doucement entre ses cuisse et ses doigts qui vont et viennent sur son entrejambe. Sans aucune pudeur, elle caresse devant moi ses lèvres gonflées et trempées. Elle ne me lâche pas des yeux. Sans même m’en rendre compte, je fais de même. Ma main caresse mon sexe, machinalement, et je crois que ma réaction l’encourage à continuer. Et la voix dans les écouteurs ne s’arrête pas. — Mais j’en veux encore… j’en veux toujours plus. Il fait si chaud ici, et ça me donne des idées folles… J’ai envie de jouir, à en ...
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