La repasseuse, deuxième acte...
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Oral
init,
Cette séance imprévue, bien qu’attendue, espérée… nourrissait a posteriori bien de mes branlettes nocturnes. Mais me raconter toujours la même histoire, même avec des variantes, commençait à m’excéder… Nous ne nous étions que vus et touchés et, pris par le temps, elle m’avait ramené sur le palier…Elle avait laissé passé une bonne quinzaine sans venir, et je la guettais avec impatience. J’étais pour la nième fois sur le balcon au jour et à heure habituelle de sa venue, après-midi sans lycée… Enfin revoilà Sophie… Elle ouvre sa fenêtre — Nicolas, viens ! dit-elle avant de vivement refermer… Je me précipite chez les voisins. Elle est là, pas en blouse comme d’habitude mais habillée comme pour sortir, en fait habillée comme elle était arrivée. On se fait la bise, et — Nicolas, j’ai pris ma journée, viens allons chez moi. Mon sang ne fait qu’un tour, comme on dit… Je me précipite chez mes parents, complète mon habillement et la retrouve sur le palier. — La dernière fois nous n’avions fait que nous toucher, aujourd’hui, Nicolas, j’ai envie de t’apprendre plein de choses…— …— Tu ne dis rien ?— …je ne sais pas, c’est la première fois…— Pas la première, mais la suite de ce que nous avons commencé la semaine dernière et que nous n’avons pas pu finir. Nous descendîmes vivement l’escalier, elle d’abord afin que quelque habitant de l’immeuble ne nous voie pas ensemble… Bien en avant de moi, elle m’attendait au coin de la rue. — Viens vite, dit-elle me serrant un bras, nu en cette saison. ...
... Ce contact, cette proximité, cette situation imprévue et ouverte, je me mis à triquer, ce qui me gêna dans ma démarche… — Allons, Nicolas, dit Sophie, vite… Tu sais, j’ai envie qu’on ne tarde pas à arriver chez moi. Je n’ai que jusqu’à 7h ce soir, jusqu’à ce que mon mari arrive… Oups, je n’y pensais plus à celui-là… C’était inquiétant et excitant en même temps, mais ça m’avait fait débander (tant mieux, pour marcher c’était préférable…). Nous arrivâmes rapidement chez elle, car comme nous elle habitait le centre. Son immeuble ressemblait au notre, comme tous ces immeubles XIX° : grande cage d’escalier, hauteurs sous plafond. — Laisses-moi passer devant, quand tu me verras entrer tu attendras en bas trois minutes, Nicolas, puis tu monteras… Sophie entrée, le temps attendu, je monte quatre à quatre. Elle m’attendait derrière la porte palière, entr’ouverte. — Vite… dit-elle … Déjà elle était en combinaison, ses nichons libres de soutien-gorge ballottant, mais encore elle avait sa culotte. J’en apercevais la teinte foncée à travers le clair de la combinaison. Elle me tire par le bras pour me faire rentrer rapidement. Je pénètre…, mes pieds s’emmêlent dans ses habits jetés dans l’entrée : la cochonne, elle s’était déjà dévêtue là, comme ça ! La situation était bandante… — Viens… Sophie me guide dans sa chambre dont les volets étaient clos, comme la fois précédente dans chez les Marchi… Elle s’assied sur le lit et m’attire à elle. — Laisses-moi faire… J’avais une vue plongeante sur ...