La repasseuse, deuxième acte...
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Oral
init,
... sa poitrine, pas si grosse mais bien ronde, aréoles brunes, mamelons dressés. Ses larges cuisses s’étalaient sur le lit. Tout sourire, elle me regarde et me saisit par les cuisses, les pétrissant. — Ça va, tu es bien, tu es bien ?— Oui, m’d… oui Sophie.— De quoi as-tu envie ?— J’sais pas…— Tu vas voir, nous nous étions bien vite mis nus chez les Marchis, mais aujourd’hui nous allons prendre notre temps. Sophie se mit alors à me débraguetter, baissant mon froc, faisant apparaître mon slip déformé. — Tu bandes bien… ta pine, je vais la toucher, dit-elle la serrant à travers le tissu… Ne sachant que répondre, les yeux baissés sur ses mains, je la regardais faire. Elle se mit à presser ma hampe sous le tissu entre le pouce et l’index d’une main, tandis que de l’autre elle tripotait mes couilles, ses doigts se glissant sous mon slip. — J’aime te branloter comme ça… Et toi, ça te plaît ?— Mmouiii… Continuant un court instant, tout d’un coup elle me libère de mon slip et ma queue se redressant comme un ressort. — Oh, belle pine, dit-elle encore, je vais te sucer ! on t’a déjà sucé ?— Non… Sophie relève son visage et me donne un bisou… Le deuxième ! mais un bisou bisou, pas avec encore la langue dans la bouche comme je savais qu’étaient les " vrais ", mais déjà entre les lèvres. — Mmmm, je vais me régaler, dit Sophie… Elle était encore assise devant moi. Alors elle se relève pour ôter son slip. Je vois encore du noir à travers sa combinaison mais maintenant c’est sa chatte bien ...
... fournie. La dernière fois, je n’avais vue que trop peu et trop vite. Debout, elle m’attire contre elle. J’ai ses nichons contre ma poitrine. Je bande contre son bassin. — Je ne t’ai donné que des bisous, jusqu’à maintenant… Elle m’en redonne encore un petit un tout en disant : — Tu vas voir… Elle rapproche encore sa bouche de la mienne. Je sens sa langue pointer doucement, d’abord au coin de mes lèvres, puis venir les écarter. Je ne sais que faire, Sophie a presque l’âge de ma mère, mais j’avais vu qu’à poil sa quarantaine sportive semblait plutôt une trentaine. Un peu gêné de me faire embrasser par une " vieille ", ma bandaison persistait néanmoins, car je sentais arriver tout un tas de cochonneries… Toutes celles que j’avais pu imaginer lors de mes lectures, avec les photos que j’avais vues et que je me racontais dans mes branlettes. Seul truc, quand elle m’avait serré contre elle, ma queue avait été pliée vers le bas. Comme elle frottait son bassin contre le mien, ça n’arrangeait rien… Subrepticement, je rétablis mon mandrin verticalement, presque jusqu’au nombril Sophie, plus petite que moi. — Tu vas voir, dit elle encore, bafouillant sa bouche contre mienne. Et là, sa tête inclinée, ses lèvres contre les miennes, elle m’emplit la bouche de sa langue tout enduite de salive. J’eus presque un geste de recul. Sentant ça, elle pressa ma nuque de sa main droite tout en nouant ma langue de la sienne… Je me laissais faire, un petit moment et connus que, c’était bon… Entre temps, sa ...