1. La repasseuse, deuxième acte...


    Datte: 06/05/2018, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Oral init,

    ... main gauche était descendue sur ma queue dont elle serait la hampe dans sa paume, titillant mes couilles du bout des doigts. — Alors, on dirait que tu aimes ma bouche ?— Oui, Sophie…— Tu l’avais déjà fait ?— Non, j’embrassais mes copines, mais elles ne voulaient pas ma langue.— Alors, là aussi tu es puceau ?— Non, puisque tu me l’as déjà fait la dernière fois.— Oui, c’est vrai, mais tu es puceau du reste ?— Mmoui…— Plus tout à fait puisque tu t’es branlé sur moi et que tu m’as branlée aussi, rétorqua-t-elle…— Oui, mais à part ça, c’est juste un peu plus que j’avais fait avec une copine, quand je lui avais montré ma queue et qu’elle n’avait pas voulu aller plus loin.— Tu n’avais pas juté pour elle ?— Noon…— Tu l’avais touchée entre les cuisses ?— Presque, j’avais seulement passé un doigt sous sa culotte, contre ses poils…— Et son bouton ?— Non, elle serait les cuisses. Nous étions toujours debout l’un contre l’autre, Sophie m’avait parlé sa bouche contre la mienne, tout en me donnant des coups de langue sur la mienne, sur mes lèvres, léchant mes joues… Alors, elle me relâche, s’assied les cuisses écartées et me rapproche d’elle. Ma queue sous son nez. Putain, je bande : j’ai encore aperçu sa chatte noire et poilue, vite cachée par ses nichons que torse penché, elle fait pendre sous mes yeux. Elle m’agrippe par les cuisses. Elle sort à nouveau sa langue et se rapproche de ma queue. De sa main droite, elle la saisit et commence à lécher le gland par le frein, doucement… — Oh, ...
    ... tu fais la goutte… tu es bien raide et bien dur et tu fais la goutte… Oui, mon jus venait. Sophie de sa langue lapa cette goutte, et la suivante et avala… Je savais que ça se faisait, je l’avais vu écrit et en photo, mais fallait le faire pour y croire vraiment ! Alors, mettant ses lèvres en cul de poule, elle revînt sur mon gland, puis les ouvrant le goba s’arrêtant à la couronne. Puis de sa langue, elle commença à en faire le tour, revenant sur le méat, puis retournant autour. Je me mis à trembler, ou plutôt à vibrer. Elle avait pris ma queue d’une main, de l’autre me tenant toujours proche d’elle. Ma queue empoignée, elle se mit à pomper, pomper… à me faire vraiment ce qu’on appelle une pipe. — Arrêtes, ça va venir, lui dis-je.— Oui, petit salaud, dit-elle s’arrêtant net… mais je veux que d’abord tu me jouisses entre les cuisses. Je veux que tu m’enfiles comme un homme enfile une femme, pour la remplir de son beau jus blanc. Je l’avalerai plus tard. D’abord bourres-moi bien, remplis-moi le con de ton foutre…. Jamais je n’aurais imaginé que Sophie, Mme Pigeaudier la repasseuse des voisins soit aussi cochonne, et surtout me parle comme ça. Ça dépassait tous les phantasmes que j’avais pu imaginer. Se dépouillant de sa combinaison, qui ne la cachait plus guère. Ce vêtement resté sur elle, la sachant et l’entrevoyant à poil devant moi, ça m’avait bien excité. Sophie se jeta alors en arrière dans la longueur du lit, relevant ses genoux et écartant ses cuisses. — Viens, Nicolas, ...
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