La repasseuse, deuxième acte...
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Oral
init,
... viens me baiser ! ! ! Je me précipitais à genoux entre ses cuisses, fasciné par son temple baveux tout ouvert. Ses grandes lèvres presque violettes luisaient entre les poils de sa fouffe, poils qui descendaient un peu vers les cuisses. — Viens, approche me dit-elle me voyant m’arrêter, médusé par cette vision biblique et animale, viens… Je rapprochais sur les genoux et commençais maladroitement à me coucher sur elle. — Attends, laisses-moi faire… dit-elle prenant ma queue dans sa main, je vais te guider. Toi tu vas t’appuyer sur tes coudes et descendre. Suivant sa consigne, je sentis tout d’un coup mon gland prendre contact avec la mollesse juteuse et chaude de son con. Sophie se mit alors à faire aller lentement ma bite de haut en bas. J’entendais, ça faisait : " split, splat … ", glissant sur sa chair inondée. — Viens, vas-y, rentre maintenant ! m’ordonna-t-elle…, s’agrippant à mes fesses et me pressant contre elle. Je pénétrais dans sa grotte, pas si large pour une femme de cet âge. Mais je savais qu’elle n’avait qu’un enfant… Tout de suite, elle se mit à remuer son cul de bas en haut. — Vas-y, baises-moi… tronches-moi… Suivant son rythme, d’instinct à contresens, je me mis à la limer. De son vagin, comme d’une bouche, elle aspirait régulièrement ma bite. Je la pistonnais encore plus, jusqu’au fond de son con, sentant sur mon gland l’entrée de son utérus (je savais presque tout ce que je faisais…, mes lectures cochonnes m’avaient déjà appris au moins le vocabulaire…). — ...
... Bourres-moi… bourres-moi… c’est bon… Je commençais à ahaner, poursuivant mon effort… — Aaaahh… ça vient ! ça me vient… hurla Sophie, baises-moi, baises-moi… J’y étais presque, et ces mots me firent finir. Je me vidais en saccades à coups de cul… et après un dernier sursaut, je m’écroulais… — Oui, ton jus, craches-le… cria Sophie ! Je nageais dans mon foutre, mêlé à l’abondant jus de con qu’elle m’avait dispensé pendant que je la fourrais. Nos poils emmêlés étaient inondés. J’eus presque un dégoût de tant d’obscénité, mais ses bras m’entourant, elle m’embrassa à nouveau, tendrement je restais vautré sur elle. — Gentil petit salaud, tu m’as bien remplie, c’est bon dit-elle continuant ses baisers auxquels je répondais avec mollesse, épuisé. Quelle découverte ! Nous étions nus, nous avions baisé, joui abondamment tous deux… Elle était salope et gentille, tendre même. Jamais je n’avais imaginé pareilles choses ensemble. Dans mes branlettes, je n’imaginais que des cochonneries, je ne savais pas que ça pouvait (ça devait appris-je plus tard, mais pas assez vite…) marcher qu’ensemble. Elle me repoussa alors doucement à côté d’elle et, sur le dos côte à côte, nos mains l’une dans l’autre, nous reprîmes notre souffle. Un moment passé, Sophie se leva et j’entendis de l’eau couler dans la salle de bain. J’imaginais (justement) qu’elle se lavait, et j’avais bien envie d’en faire autant. En terrain encore inconnu, je n’osais pas la rejoindre, quand je l’entendis : — Nicolas, viens… Je me ...