La repasseuse, deuxième acte... - Histoires de Sexe

La repasseuse, deuxième acte...

... levais, le pubis trempé dégoulinant sur mes aines, sur mes cuisses même… et allais la rejoindre. La salle de bain, obscure mais assez vaste, n’était éclairée que par un spot, et Sophie se tenant dans son faisceau. Comme une statue, drapée d’une longue serviette blanche qui accusait encore plus son bronzage, je voyais ses cuisses et un sein. Je remarquais seulement de la couleur de ses cheveux : aile de corbeau, et de ses yeux : bleus, comme ceux de certaines italiennes. Je me remis à bander, elle sourit : — Viens… Me saisissant par la queue, elle m’emmena vers le lavabo et commença à me passer un gant de toilette sur ma queue, mon pubis. D’un mouvement, elle rejeta sa serviette… et nous fûmes à nouveau nus tous deux. — Baisses-toi un peu en écartant les cuisses, ordonna Sophie… Elle voulait me laver ? Je me rebiffais… — Non, laisses-moi je vais sous la douche.— Alors, laisses-moi te regarder faire, dit-elle me donnant le gant. Debout dans la baignoire, la queue en l’air, je jouais l’exhib devant cette voyeuse. Elle s’était juste les fesses au bord du lavabo et, Me regardant, elle se pétrissait un sein d’une main tandis que de l’autre elle fourrageait dans son épaisse fouffe… Je pris une douche complète. Comme j’en sortais, Sophie ramassant la serviette se rapprocha de moi pour m’en envelopper. Derrière moi, elle me frotta ensuite le dos puis, abandonnant la serviette, me plaqua contre elle, ses mains descendant sur mes cuisses. Je sentais sa toison contre mes fesses. Je ...

... triquais toujours, quand ses mains reprirent la droite ma bite, la gauche mes couilles. — Petit bandeur me susurra Sophie dans l’oreille, petit salaud… petit bandeur à la bonne bite. Pendant qu’elle me tripotait ainsi, de ma main droite j’agrippais sa toison, de la gauche, je cherchais ses fesses… mais elles étaient trop loin. Alors je me retournais, relevant ma bite je la posais à nouveau sur son ventre vers son nombril et pressais mon bassin contre le sien, tout en prenant son cul à deux mains. Sophie mit alors ses bras autour de mon cou et se remit à nouveau à me rouler un patin baveux. Ma langue suivit le mouvement et, à mon tour, suçant d’abord sa langue que comme une bite elle avait tendue dans ma bouche, puis je me mis à lécher ses dents, ses gencives, à la laper dans les joues… Sophie me repoussant doucement se mit à genoux pour gober d’un coup ma bite, qu’elle enfonça au mieux, presque une gorge profonde… Puis se redressant : — Nicolas, retournons dans la chambre, j’ai envie de te sucer à fond… Oups… elle avait déjà bu mes gouttes au début de la séance, mais je ne pensais pas qu’aujourd’hui j’aurais droit à la totale : qu’elle aille jusqu’à m’avaler, tout… mais elle l’avait annoncé en léchant mes premières gouttes. — Couches-toi, écarte les cuisses, me dit-elle arrivés dans la chambre. J’obéis. S’asseyant à ma gauche me faisant face, appuyée sur son coude, prenant ma bite de sa main droite, lentement elle descendit, ouvrant la bouche. De sa langue d’abord, elle lapa mon ...