1. Avec Vincent


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fépilée, rasage, Oral pénétratio, portrait,

    ... apprécié de se présenter de cette façon. Ensuite, elle l’avait fait mettre sur le ventre en lui relevant les fesses. Il fallait bien lui enlever tous les poils de la région anale. Se trouver ainsi lui avait fait éprouver une gêne immense. Souvent, elle se demandait ce que savent les hommes de ce que ressentent les femmes dans ces moments. Dominique, à la vue de son sexe imberbe avait trouvé la vision plus qu’excitante. Elle avait cédé à une exigence de Dominique et s’était juré – pour celle-là – de ne plus céder à ce caprice ! Elle ne pouvait nier que de voir son pubis rasé avait quelque chose d’excitant pour les hommes et devait s’avouer qu’elle aussi avait apprécié cette douceur et surtout la vue de son intimité totalement visible et que plus aucun rempart ne protégeait. Au début, plus d’une fois, avec un petit miroir elle aimait se contempler. Par la suite, il avait fallu endurer l’épreuve de la repousse de sa toison et cela avait été des moments pénibles durant quelques semaines. Elle aimait ses poils. Ils étaient châtains et juste assez fournis pour que l’entrée de son vagin soit perceptible. Elle se retourna, vit ses fesses qui n’avaient rien de particulier… si ce n’est qu’elle et ses amants les trouvaient jolies. Elle se cambra en avant et, vue de derrière, la toison qui ornait son sexe devenait plus visible. Avec une main, elle écarta une de ses fesses et cela lui permit dévoiler un peu plus d’elle et de son anus si étroit. Vues sous cet angle ses grandes lèvres ...
    ... s’entrouvraient et son intimité encore luisante de son plaisir se devinait. « Assez de narcissisme, à la douche et continuons notre journée. » Voilà ce qu’elle se dit en se mettant sous le jet d’eau chaude. Elle en profita pour faire sa grande toilette en commençant par un shampoing et laissa longtemps l’eau couler sur son corps. Elle aimait la tiédeur de ce contact. Elle pouvait rester immobile plusieurs minutes sous le jet en laissant son esprit vagabonder. Elle fit une toilette minutieuse et à l’issue, après être sortie de la cabine de douche et s’être essuyée, prit son petit miroir de poche, dirigea le faisceau d’une lampe d’appoint sur son intimité et regarda son sexe. C’est toujours avec autant d’étonnement qu’elle se demandait comment les hommes pouvaient faire des folies pour la possession de cet étalage de chairs. De son intimité, elle ne voyait que des grandes lèvres qui enrobaient des chairs sensibles et toujours exacerbées. Délicatement, elle ouvrit le passage à travers celles-ci pour s’immiscer encore plus et forcer avec un doigt le passage à l’entrée de son vagin. Qu’il était doux de sentir ce doigt pénétrer. Moins d’une heure auparavant, ce n’était pas un doigt qui avait forcé le passage mais le sexe de Vincent. « Forcé » est un bien grand mot car Julia l’avait accueilli du mieux qu’elle pouvait. Son doigt ressortit légèrement humide. Son intimité était toujours lubrifiée de façon bien agréable. Elle pensait que Dame Nature avait tout fait pour qu’elle soit en ...
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