Avec Vincent
Datte: 08/05/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fépilée,
rasage,
Oral
pénétratio,
portrait,
... était plus qu’honorable. Chez elle, dès qu’elle le pouvait, elle s’affranchissait de cet accessoire. À chaque fois qu’elle l’enlevait, elle aimait, pendant quelques instants, caresser ses globes de chair. Elle les aimait tels qu’ils étaient car gros comme des oranges, ils épousaient parfaitement la forme des mains et l’endroit le plus sensible de ceux-ci était leur dessous. Elle trouvait ses seins juste comme il faut. Trop gros, elle aurait dû supporter une poitrine trop envahissante et trop petits elle aurait trouvé cela moins féminin. Elle voyait le regard des hommes lorsqu’ils croisaient une femme aux formes généreuses. Quelque part, c’était malsain de sentir ces regards les fouiller et d’autre part il y avait un sentiment de désir qui ne pouvait la laisser insensible. Sa poitrine lui appartenait et elle aimait, lorsque ses seins n’étaient plus entravés les sentir vivre et bouger sans retenue. À cet endroit, la moindre caresse commençait à la faire fondre. C’est pour cela qu’elle ne faisait pas trop durer ce moment de détente. Elle se sentait un peu différente des autres femmes car ses aréoles étaient peu marquées et ses tétons étaient peu érectiles. Il avait fallu raisonner ses amants qui, à tout prix, voulaient les triturer. Elle n’en ressentait que peu de plaisir et même, lorsqu’ils se montraient trop insistants, de la douleur. Par contre, avec le temps, elle avait su leur faire comprendre que de simples effleurements ou de tendres succions la rendait heureuse. Si elle ...
... continuait son examen, en descendant un peu elle trouvait un ventre quasiment plat, des jambes qui à défaut de n’être pas interminables n’étaient, pour elle, pas trop courtes, des cuisses bien dessinées et, au milieu de tout cela, un sexe à la toison rase mais fournie. Elle aimait ses poils pubiens. Elle entretenait sa pilosité en faisant attention qu’elle ne déborde pas trop et la taillait assez ras pour éviter d’en faire une forêt vierge. Elle ne comprenait pas la mode qui voulait que les poils soient rasés. Pour elle, il en fallait. Cela faisait partie de sa personne et ne souffrait pas de discussion. Dominique, dans le chapitre des demandes particulières, lui avait demandé de s’épiler entièrement. Malgré son peu d’enthousiasme et ne voulant pas le décevoir au début de leur relation elle s’était laissée aller à cela. Elle avait pris rendez-vous chez une esthéticienne de la ville voisine afin de ne pas être reconnue et, avec gêne, avait expliqué qu’elle désirait être épilée entièrement. La jeune femme qui s’était occupée d’elle l’avait fait déshabiller et, comme chez le gynéco, elle avait dû se trouver dans une position qui avait duré bien plus longtemps. En plus du manque de confort, il avait fallu exposer son intimité à une parfaite inconnue et souffrir pendant de longues minutes. Que cela lui en avait coûté ! L’esthéticienne avait ressenti son trouble et lui avait asséné des paroles toutes faites : « Entre femmes, il ne doit pas y avoir de gêne. » Julia n’avait pas trop ...