1. L'instit


    Datte: 19/07/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, initfh, f+prof,

    ... sommes en confiance. Que puis-je t’offrir ? Thé, café ? Voilà la raison pour laquelle elle voulait me rencontrer. Je comprends mieux à présent son attitude. Tout en buvant le thé, que je déteste, et en mangeant les petits gâteaux, nous avons discuté en amis. Le temps passait et elle ne paraissait pas pressée de me quitter. Elle avait dit que son cœur battait quand elle m’avait vu. On allait voir si elle éprouvait toujours les mêmes sentiments. J’allais la draguer. — Maintenant nous pouvons avoir des relations normales, lui dis-je.— Volontiers, cela me ferait très plaisir.— Et au lieu de se toucher la main, s’embrasser sur la joue comme le font les autres.— Oh oui, d’accord. La manière enthousiaste de sa dernière réponse m’a décidé à entreprendre une approche plus concrète. Je verrais bien jusqu’où je pourrais aller. — Cela devait te paraître anormal qu’on ne l’ait déjà fait. Surtout que quand tu le pratiques avec tes copains, tu n’y vois aucun mal.— Eh bien, je vais t’avouer quelque chose, je n’ai jamais eu de véritables copains, simplement des connaissances, à l’école, lycée ou même à Normale.— C’est étonnant, car moi je dois te dire que j’ai de nombreuse copines, en tout bien tout honneur (sauf celles qui m’ont accordé leurs faveurs, mais je n’allais pas le lui dire).— Dans ma famille, on est très collet monté. Si un garçon était venu à la maison, c’est qu’il aurait des raisons sérieuses, en un mot, demander ma main. Mais comme je n’ai aucun contact avant la gent masculine, ...
    ... cela n’arrivera jamais.— Excuse-moi d’être indiscret, mais alors, tu es toujours vierge ?— Oui, et je n’ai même jamais embrassé un garçon. Enfin, je veux dire un vrai baiser. Cela doit être formidable, mais je ne me vois pas aborder un garçon pour lui demander cela !— Tu peux me le demander, j’accepterais volontiers et ce serait avec plaisir.— Mais, Michel, je n’oserais pas, que penserais-tu de moi ?— Que tu es une fille normale. D’ailleurs, je vais te le prouver. Victoire ! Je vais lui faire franchir le premier pas. Puis il me faudra y aller doucement mais je tenterai d’obtenir plus. Je me suis levé, dirigé vers elle, j’ai pris sa tête et posé mes lèvres sur les siennes. Elle n’a pas refusé le contact, au contraire elle a appuyé de toutes ses forces. De la langue, je lui ai mouillé la bouche. Étonnée tout d’abord, elle a ensuite desserré les lèvres. La pointe de ma langue a léché ses dents puis appuyé fortement. Elle a desserré les mâchoires, elle était perdue. Et j’ai commencé un véritable baiser, craignant toutefois qu’elle me repousse. Mais au contraire elle est restée collée à moi. Au bout d’un long moment, c’est moi qui l’ai quittée. Elle était silencieuse, des larmes coulaient sur ses joues. Mais ce n’était pas de chagrin. Elle m’a souri, elle avait établi un contact avec un homme ! — Merci, Michel. Tu viens de me faire le plus beau cadeau que je n’ai reçu depuis longtemps.— Je suis enchanté de t’avoir fait plaisir. Mais le baiser n’est que le prélude à des joies bien ...
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