L'instit
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
initfh,
f+prof,
... meilleures. Sans parler d’aller jusqu’à faire l’amour, il y a des préludes qui sont sources de plaisir.— Oui, j’ai lu ça. J’aimerais les connaître, mais je n’ose pas les demander.— Si tu veux, je peux continuer un peu ton initiation.— Oh oui, Michel, je t’en supplie. La manière dont elle me le demandait me laisser envisager une initiation complète. D’un autre côté, sa naïveté et sa manière de s’offrir me touchaient. À la fois, je la désirais ardemment et j’avais peur d’abuser d’elle qui était venue en toute confiance. Je l’ai allongée sur le canapé, ai repris le baiser auquel elle a répondu ardemment. Ma main est venue caresser sa poitrine. Elle n’a rien dit. Déboutonnant son corsage, j’ai glissé mes doigts en dessous et écarté le soutien-gorge. Je tenais le sein bien en main. J’ai fait rouler son bouton. Voulant connaître sa réaction, j’ai cessé le baiser pour voir son visage. Les yeux fermés, elle gémissait doucement. Considérant cela comme une autorisation, j’ai dégrafé, écarté son corsage, baissé le soutien-gorge. Mes mains, mes lèvres ont joué sur sa poitrine. Elle gémissait de plus en plus fort. La prenant dans mes bras, je l’ai soulevée afin de la mettre torse nu. Elle a participé à ce déshabillage délicat. La reposant, reprenant mes caresses, ma main a dégrafé son jean. Elle s’est soulevée afin que je puisse le faire glisser ainsi que la culotte sur ses jambes. Elle venait de me donner toutes les autorisations. Mon doigt est allé rechercher le bouton. J’ai alors joué ...
... toute la gamme des caresses. Sa bouche émettait un râle continu, son entrejambe commençait à suinter. Et maintenant que faire ? Je me suis arrêté un instant indécis. Elle a ouvert ses yeux, me suppliant de continuer. Alors, j’ai décidé de terminer. Je me suis redressé, ai tiré le jean et la culotte pour les retirer. Elle était nue. Je me suis mis dans la même tenue. Ses grands yeux étonnés contemplaient mon sexe bien dressé. Voilà l’instrument de mon supplice, pensait-elle. Elle a avancé la main, a touché cet organe, l’a pris en main. Puis elle l’a tiré vers elle pour l’amener face à sa fourche. On ne pouvait être plus clair. Je me suis allongé face à elle. Elle a mis le poinçon face à l’encoche. J’ai frictionné ses lèvres intimes avec mon sexe. C’est elle qui en appuyant ses mains sur mes hanches, a donné le signal de son dépucelage. Lentement, je me suis enfoncé jusqu’à la garde. Quelques larmes coulaient sur ses joues, mais son sourire exprimait une joie intense. Alors, je l’ai baisée. Alternant la cadence jusqu’à ce que mon plaisir devienne trop intense. Je me suis retiré, j’ai éjaculé sur son ventre. Catherine est restée allongée, totalement détendue, les yeux fermés, un sourire béat sur son visage. J’étais heureux de l’avoir baisée certes, mais aussi d’avoir réussi le dépucelage, c’était la première fois que j’en avais l’occasion. Je l’ai prise dans ses bras et l’ai portée jusqu’à la salle de bain. L’eau tiède de la douche a coulé sur nos corps enlacés. Puis nous nous ...