1. L'instit


    Datte: 19/07/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, initfh, f+prof,

    ... sommes séchés l’un l’autre et tout nus nous avons regagné le canapé. — Michel, lorsque je t’ai demandé ce rendez-vous, c’était pour te dire combien j’étais impliquée dans les ennuis que tu as connus. Mais au fond de moi j’espérais que tu me donnerais un baiser, un vrai baiser. Mais je suis folle de joie que tu aies compris mon désir et surtout poursuivi mon initiation jusqu’au bout. À mon âge, je n’avais pas connu l’homme, je me considérais comme infirme, diminuée.— Catherine, depuis le premier jour, je t’ai désirée. Belle comme tu étais, je te pensais affranchie et que nous pourrions quelquefois nous aimer. Mais j’ai vite saisi que si tu te montrais très compétente dans ta spécialité, tu n’avais en réalité aucune expérience des relations avec les hommes. J’en ai déduit que je ne pourrai jamais t’avoir dans mon lit, d’où mon attitude. Ta demande de me rencontrer m’a à la fois surpris et enchanté. J’étais décidé à tenter de te dégeler, de t’embrasser. Ton acceptation m’a poussé à aller de plus en plus loin, jusqu’à l’union totale.— Michel, je t’admire depuis le premier jour. C’est la jalousie, professionnelle, qui a dicté ma conduite. Maintenant que nous nous sommes expliqué, que tu m’as faite femme, j’aimerais que l’on se retrouve quelquefois. Je t’aime, mais je comprendrais très bien que je te sois indifférente. Pour toi, tu prendrais seulement ton plaisir. Je te laisserais dès que tu ne voudras plus de moi. Mais, je t’en prie, apprends-moi tout de l’amour.— Mais Catherine, ...
    ... moi aussi je t’aime. Mais compte tenu de ton attitude assez froide, je n’ai jamais osé te le dire. Tu désires que nous soyons amants, mais j’en suis enchanté, que nous fassions l’amour ou non, juste pour le plaisir d’être avec toi. Nous avons passé la soirée, enlacés, faisant des projets d’avenir. Et avant de partir, elle a voulu que je la baise à nouveau. Le lendemain, les collègues n’ont pas eu besoin d’explications. Catherine est arrivée le visage rayonnant, m’a embrassé amicalement. Toute l’équipe a été heureuse de ce dénouement. Désormais dans la cour, nous discutons souvent, et pas seulement d’éducation. C’est pour m’exprimer ses sentiments. Nous nous retrouvons de plus en plus souvent et elle aimerait vivre avec moi, mais il y a ses parents. Nous faisons l’amour fréquemment, quitte à opérer rapidement parfois dans des endroits incongrus, car elle est toujours affamée de caresses. Même les jours où elle est indisposée elle vient. Un jour je lui ai dit que dans ces cas-là, il y avait un moyen de faire l’amour, en utilisant une manière prohibée. Elle m’a supplié de lui apprendre cette nouvelle pratique et c’est ainsi qu’un samedi, je l’ai sodomisée. Elle n’a pas trop aimé cela, au début. Avec le temps, c’est devenu une pratique que nous utilisons quelques fois, même quand l’autre voie est ouverte. Les vacances étant là, nous ne pouvions plus nous voir aussi souvent. Car malgré ses vingt-huit ans, ses parents la surveillaient. Elle a déployé des trésors d’inventivité pour ...
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