Post-formation
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
jalousie,
Masturbation
Oral
pénétratio,
amourpass,
... glousse de plaisir, satisfaite de la tournure des choses, offerte. Je veux cette femme, elle me fait un effet fou, dévastateur. Sans plus attendre, je me débarrasse de mon pantalon, son slip suit le même chemin, puis je me vautre sur elle, calé entre ses jambes et je force le passage ! Forcer le passage ? Un euphémisme, tant elle mouille ! Je suis entré en elle avec une facilité déconcertante ! Couché sur son corps, ses seins écrasés sous ma poitrine, je la possède à coups de reins bien profonds. Je n’ai pas envie de faire dans le détail, je la veux complètement, je l’aurai ! Ma femme accompagne mes coups de bite de son bassin ; visiblement, elle aime ça, bestialement, comme la fois où… Non, je ne devrais pas songer à ça, mais c’est plus fort que moi, ça tourne en boucle dans ces moments-là ! Alors, rageur, j’accentue le mouvement, pour chasser l’image de l’autre. Je plonge en elle, je force, je la contrains à s’ouvrir plus encore ! J’imagine même être aspiré en elle pour la remplir totalement, la faire exploser ! Je continue à embrasser ma femme voracement, en appui sur mes coudes afin de ne pas l’écraser complètement. Soudain, je me demande pourquoi tant d’attention pour une traînée qui m’a honteusement trompé sous mon propre toit. Alors, toujours couché sur elle, mes mains s’emparent sauvagement de ses seins, les malaxant, pinçant leurs pointes dressées ; vautré sur elle, en elle, ma bouche vorace exigeant plus encore, lui faisant subir mon poids et mes va-et-vient ...
... incessants et brutaux. Soudain, elle détourne la tête pour happer l’air qui commence à lui manquer, j’en profite alors pour plonger dans son cou, la dévorant sans relâche. Elle gémit : — Non… je… non !— Si ! Et je continue de plus belle, acharné à la dévorer, à la posséder, à la punir. Cela m’excite tant que je me sens partir, une puissante vague m’entraîne avec elle, je pousse quelques cris rauques, je tressaille, elle vibre sous mon corps, ses ongles dans mon dos. J’explose, je jaillis en elle, je la remplis, je submerge ! Je veux la noyer, qu’elle crie grâce, qu’elle… Avant que mon esprit ne décroche, j’entends comme un cri étrange, inarticulé, un corps qui tressaille sous le mien, des doigts qui pénètrent ma chair. Puis, plus rien… Rien qu’un grand vide, un petit néant tout chaud, accueillant… --ooOoo-- Ce même scénario se reproduira de temps à autre, et même, de plus en plus intense, bestial. La seconde fois, Nathalie me dira juste après avoir récupéré : — Tu deviens sadique ! Tu m’as mordu partout !— C’est normal : je veux te dévorer toute crue !— Si tu me dévores toute crue, tu feras comment pour me faire l’amour ? Oui, bon raisonnement. Mais dans les choses de l’amour, la raison est différente, un ancien philosophe n’a-t-il pas dit : — Le cœur a ses raisons que la raison ignore, ma chère femme !— Tu fais dans la philo, à présent ! N’empêche que pour un philosophe, je te trouve très terre-à-terre ! Que répondre à ça ? Je préfère laisser tomber. Mais, de son côté, Nathalie ...