Post-formation
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
jalousie,
Masturbation
Oral
pénétratio,
amourpass,
... ? Elle poursuit : — Le fait que tu travailles dans un labo pharmaceutique a dû t’aider, non ? J’ai fini par découvrir des petites traces de piqure dans le creux de mes genoux. Je ne sais pas ce que tu m’as injecté mais c’est plutôt efficace, franchement, j’étais à deux doigts de croire que j’avais tout imaginé. Je ne réponds rien, attendant la suite. Anxieuse, elle s’approche un peu de moi et questionne : — Pourquoi ?— Il était mort, un accident…— Pourquoi toute cette comédie, cette mise en scène, ce truc foireux ?— Parce que je voulais te récupérer ! Tu es ma femme ! Et je n’avais aucune intention d’aller croupir en taule pour les yeux de merlan frit de ton fichu amant !— Tu es jaloux, toi ? Je gronde, elle recule un peu : — Qu’est-ce que tu crois ? Si je t’ai épousée, c’est parce que je t’aimais et que j’étais fou de toi ! Et toi, même pas quelques mois après, tu t’envoies en l’air avec un macho bourrin !— Tu m’aimais et tu étais fou de moi. Avant ? Et maintenant ?— Je n’ai pas à te répondre ! Prudemment, elle met la table entre elle et moi : — Tu n’étais jamais là…— La belle excuse ! Que crois-tu que je faisais si tard le soir ? Des galipettes comme certaines personnes de ma connaissance ? Non, Madame ! Je bossais afin que tout aille bien, pour toi, pour cette maison, pour nos futurs enfants.— Je ne t’avais rien demandé…— Attends, attends ! Il est normal que je…— Non, c’était toi et moi, l’important ! Pas le fric !— C’est facile de le dire après. Tu n’as pas craché ...
... dessus, à ce que je sache ?— Oui, l’argent était là, j’en ai profité, c’est vrai. Elle s’interrompt un peu puis reprend : — Oui, j’en ai profité, je ne manquais de rien ou presque, sauf que tu n’étais pas là. Tu me manquais et c’était ça le plus important ! Par contre, depuis… depuis tu sais quoi, tu es enfin avec moi, je ne dois pas attendre des heures que tu daignes revenir.— Mais, je…— Moi, j’ai simplement besoin d’un homme qui s’occupe vraiment de moi, ce n’est pourtant pas demander la lune ? Si ? Silence ; nous nous regardons. Elle reprend : — Tu sais, je préfère le nouveau Didier, celui… celui d’après…— Comment ça ? Elle est pensive, cherchant ses mots, essayant de formuler une image qui flotte dans sa tête : — Tu es plus, tu es beaucoup plus… enfin comment dire ? Tu es plus à moi, tu t’occupes de moi, pas de ton fichu boulot. Tu es aussi plus… plus viril, plus mâle…— Plus macho en somme ?— Et aussi… plus… comment dire ? Oui, salaud…— En clair, Nathalie, si je te comprends bien, tu aimes les salauds machos ?— En quoi est-ce mal ? Je ne suis qu’une faible femme… Que répondre à ça ? Je le regarde fixement, mes yeux dans les siens, ses si ravissants yeux… Néanmoins, mon cerveau carbure à fond. — Alors, maintenant, on fait quoi ? demande-t-elle. J’ai néanmoins compris quelque chose dans tout ça : il faut que j’assure, que je sois celui qui mène, et certainement pas un toutou. Pas celui d’avant. Mais il faut que je comble aussi ses désirs, malgré son apparente docilité. Bref, la ...