1. Mon ami gynéco - 1


    Datte: 17/05/2018, Catégories: f, fh, extracon, médical, fépilée, rasage, Oral préservati, pénétratio, confession, f+medical,

    Mon ami gynéco Je suis furieuse, cela fait dix ans que je suis mon mari dans ses déplacements incessants, vivant comme une saltimbanque six mois ici, un an là, et maintenant qu’il a enfin un poste stable (un peu moins bien payé, mais zut !) et que je peux enfin aller deux fois de suite chez le même gynéco, j’apprends qu’il prend sa retraite. C’est rageant, moi, petite épouse modèle, arrivée vierge au mariage (enfin presque mais seul mon futur mari a eu l’honneur de mon jardin secret), fidèle depuis le premier jour, je passe mon temps à m’exhiber devant des hommes – parfois des femmes – que je ne connais pas. Je n’aime pas du tout ! Les hommes qui fantasment sur les délires gynécologiques n’ont aucune idée de la froideur d’un examen, de l’inconfort et de la brutalité d’une table de visite, de l’humiliation des étriers, de l’absence totale d’érotisme de cette situation simplement médicale. Bref, mon gynéco parti, soit je maintiens mon rendez-vous avec son successeur, soit je m’en trouve un autre. À quoi bon ? Un autre pour un autre ! Je confirme donc mon rendez-vous à la secrétaire qui vient de m’appeler. Le jour venu, je me présente à mon rendez-vous, très anxieuse (comme d’habitude) et particulièrement contrariée. J’espère au moins que ce sera un bon praticien et qu’il ne va pas déménager ou prendre sa retraite trop vite. Il n’y a personne dans la salle d’attente. Au moins le nouveau n’est pas débordé ; je n’aurai pas à attendre trop longtemps. Des bruits de portes, une voix ...
    ... masculine, chaleureuse pour ce qui m’en arrive, le médecin raccompagne la patiente précédente, ça va être à moi. À chaque fois je suis stressée, comme s’il s’agissait d’un examen scolaire. Il entre, mon regard se pose sur lui et ne peut s’en détacher. Je suis incapable de parler. Je connais ce visage, j’en suis certaine, il y a quinze ans déjà, nous étions ensemble au lycée. À l’époque il m’ignorait royalement mais moi j’en pinçais sérieusement pour lui ! J’étais hypnotisée. — Madame, ça va ?— Heu! Oui, pardon, j’étais ailleurs ! Il m’invite à le suivre. Évidemment je le suis, si seulement il m’avait invitée à le suivre il y a quinze ans ! J’entre dans le cabinet, il ne m’a pas reconnue. Il consulte ma fiche, et s’il peut y lire mon prénom, il est associé au nom de mon mari : Alanys Martin (j’ai modifié le nom par pudeur) et à 500 km de notre enfance, quinze ans plus tard, ni mon prénom ni mon visage n’évoquent pour lui ce passé qui m’est encore cher. Tant pis ! Je n’ose en dire plus, mais moi je suis sûre : son visage inoubliable, sa voix, son regard, sa silhouette et puis son nom. Je n’avais pas réagi au téléphone lorsque la secrétaire m’a prévenue du départ de mon gynéco mais maintenant, il n’y a plus de doute. Ou tant mieux après tout, ce sera plus simple pour moi. Il me demande de me déshabiller. Jamais je n’ai été aussi troublée de me déshabiller devant un gynéco. Je dois être écarlate ! Il ne me brusque pas et essaie manifestement de me mettre à l’aise, prévenant, il ...
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