Mon ami gynéco - 1
Datte: 17/05/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
médical,
fépilée,
rasage,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
f+medical,
... m’aide à m’installer. S’ensuit la visite la plus délicate jamais subie : j’ai l’impression que ses palpations mammaires, généralement rapides et vigoureuses, s’éternisent en caresses sensuelles. Longuement, il garde dans sa main ferme mes seins de plus en plus durs. Ses doigts caressent, pressent, s’éternisent vraiment… Mais ce doit être mon imagination d’adolescente impubère qui revient au galop ! Ses mains descendent sur mon ventre, recherchant mes ovaires, froidement, en principe, mais je subis encore ses caresses et je me sens fondre. Maudite imagination ! Ainsi écartelée par les étriers, il ne peut pas ignorer ma vulve qui se gonfle de sang, qui s’ouvre généreusement et qui, je le sens, commence à perdre quelques gouttes. Effectivement, et d’un ton chaleureux mais toujours distant il me dit : — Vous êtes très sensible ! Oh oui ! pensé-je,si tu savais. Il enfile ses affreux gants en plastique et s’attache à examiner mon vagin, enfonçant (sans mal) le spéculum glacé, éclairant, triturant. Rien, vraiment rien d’érotique dans cette situation qui pourtant me fait vibrer et trembler comme une feuille. Il me dit qu’il faut faire un frottis. Soit ! Il s’exécute. Ce dernier acte calme un peu mon émoi… Je ne suis qu’une patiente en visite chez son gynéco ; et c’est très bien ainsi. Il termine, me dit de me rhabiller et s’assoit à son bureau. Il note quelques points de la visite et lorsque je m’assois en face de lui, il me questionne sur ma santé, mes éventuels antécédents de type ...
... MST (je le rassure, je n’ai jamais rien eu), si j’ai des rapports extraconjugaux, avec ou sans protection (je suis vexée mais je le rassure encore, je suis une épouse modèle!), si je m’adonne à telle ou telle pratique sexuelle, voire franchement déviante (il y en a que je ne connaissais même pas !). Si la visite me semble plus longue et méticuleuse que jamais, ses questions deviennent de plus en plus intimes et embarrassantes. Entre vexation, colère et fascination, j’en viens à expliquer à ce jeune et troublant gynéco comment mon mari me sodomise pour l’entendre m’expliquer ensuite les mesures d’hygiène que l’on doit associer à ce genre de pratique. Je suis mortifiée mais avec un sourire désarmant, il ajoute. — Mais madame est manifestement d’une hygiène irréprochable, mes recommandations sont purement formelles et il est inutile de vous ennuyer davantage avec cela. Dés qu’il parle, je retombe bêtement sous le charme. Quelle sotte je suis ! — Bien, tout est parfait, ce sera tout jusqu’à votre prochaine visite de contrôle. Et d’un geste autoritaire il me raccompagne vers la sortie. Je quitte le cabinet dans un état second, en colère, à la fois heureuse et malheureuse, totalement déboussolée. Comment ce goujat a-t-il pu ne pas me reconnaître et me faire subir cette humiliante visite ? On a quand même passé deux ans dans la même classe ! Ai-je tellement changé ? Ai-je tellement vieilli depuis quinze ans ? C’est vrai qu’à 15, 17 ans, je n’avais pas la même silhouette, j’étais si ...