1. Mon ami gynéco - 1


    Datte: 17/05/2018, Catégories: f, fh, extracon, médical, fépilée, rasage, Oral préservati, pénétratio, confession, f+medical,

    ... maigrichonne, si effacée que personne ne s’intéressait à moi. Lui non plus d’ailleurs ! Quand même, deux ans ensemble et oublier jusqu’à mon visage ! J’en suis verte de rage. Ni les années, ni la distance, ni mon nouveau nom ne peuvent être une excuse à son indélicatesse. Mais s’il m’a oubliée, moi, j’ai envie de lui faire retrouver la mémoire. Les semaines qui suivent, sont très chaotiques. Mon mari a droit à des bouffées de chaleur pendant lesquelles je l’étonne par mes audaces ; suivent des périodes d’abstinence pendant lesquelles le sexe me répugne. En fait, Jeff (Jean-François, mon gynéco) monopolise mon esprit et me trouble plus que de raison. Je dois absolument le revoir. Je téléphone au cabinet pour prendre un nouveau rendez-vous, prétextant des règles trop douloureuses ou n’importe quoi mais je dois y retourner ! … Voilà, c’est pour demain. Ce soir, malgré mon envie de sexe, je repousse gentiment mon mari, je ne saurais pas avec qui je fais l’amour ! 8 heures, mon mari est parti à son travail, je me fais couler un bain pour être parfaitement propre pour mon rendez-vous. Quelques bandes de cires désagréables ont tôt fait de rendre à mes jambes la douceur de leurs 16 ans. Je les caresse satisfaite mais, en remontant, mes mains s’accrochent à ma toison pubienne. Il y en a beaucoup trop ! Bien sûr, Jeff n’a pas eu l’occasion de voir mon pubis juvénile (resté glabre très longtemps, attendant une puberté très tardive), mais j’ai envie de remonter le temps. Je prends une ...
    ... paire de ciseaux et commence à couper mes jolis poils blonds jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une fine couche, comme lorsque j’étais adolescente. Voilà, c’est bien, je peux enfin me plonger dans mon bain et me laisser aller à rêver. Ma main se pose machinalement sur mon sexe, presque naturellement, et je me caresse sans même y penser. Une foule d’idées se télescope : Jeff, mon mari, moi, mes envies, celles de mon mari, Jeff… Mon mari m’a souvent demandé : «Tu ne voudrais pas t’épiler complètement, ce doit être agréable à caresser et à embrasser ! » ; j’ai toujours refusé ; je suis faite comme ça, donc c’est comme ça ou rien. Ma main passe sur ma toison fraîchement aérée et l’idée saugrenue de mon petit mari commence à s’imposer. Je m’imagine nue, tellement nue. Comment réagirait-il ? J’ose à peine me poser la question. Comment réagiraient-ils ? Oserais-je me présenter ainsi devant mon imperturbable gynéco ? L’idée de réussir à le perturber excite mes envies d’adolescente et, sans plus de réflexion, je me saisis du gel à raser de mon mari et de son rasoir. En un instant, mon pubis disparaît sous une mousse qui s’épaissit à mesure que je masse puis, d’un geste prudent, j’entame un rasage périphérique. Je découvre, un peu honteuse, le plaisir de s’occuper de soi, de son sexe, de la peau lisse qui apparaît doucement. Je continue… J’ai du mal à conclure, je repasse là (il me semblait qu’il restait quelque chose) puis ici (ma peau accrochait un peu). C’est fini, vraiment, me voilà ...
«1234...»