1. Mon ami gynéco - 1


    Datte: 17/05/2018, Catégories: f, fh, extracon, médical, fépilée, rasage, Oral préservati, pénétratio, confession, f+medical,

    ... revenue au tout début de mon adolescence. Je redécouvre une douceur oubliée et vraiment troublante. Mais l’heure tourne ; il me faut me dépêcher. J’enfile une paire de bas (Dim Up), un ensemble culotte en dentelles et soutien-gorge assorti, une jolie jupe, un chemisier blanc et hop ! J’arrive au cabinet, je tremble comme une feuille. Je suis folle, je le sais, je commence à prendre conscience de la situation plus que déraisonnable. Je ne veux pas tromper un mari que j’aime mais je viens me présenter fraîchement épilée, sous un faux prétexte qui ne tiendra pas longtemps, à un homme que je veux simplement faire réagir, pour qu’il me reconnaisse ! Si seulement ce goujat m’avait reconnue… Je devrais partir… Trop tard ! La porte s’ouvre, mon beau gynéco me sourit et m’invite à le suivre. Installés dans son cabinet, il me demande le motif de ma visite. Je lui raconte une histoire de règles douloureuses. — Vous avez encore mal ?— Non, cela remonte à une semaine.— Vous auriez dû insister pour avoir un rendez-vous de suite, maintenant on risque de ne plus voir grand-chose. Installez-vous ! On va quand même contrôler. Je me déshabille, dos à lui, gênée, puis, ne pouvant reculer indéfiniment l’échéance, m’installe sur la table, jambes serrées. — Installez-vous dans les étriers, j’arrive, dit-il sans regarder, en préparant ses instruments de torture. Puis il s’avance vers moi. Mon cœur bat à en exploser, mon visage me brûle, il doit être rouge peut-être même violet ! Je suis pétrifiée. ...
    ... — Ah ! Il y a eu du changement depuis votre dernière visite, essayez de vous détendre un peu, je vous sens très nerveuse, dit-il simplement avant de continuer et d’effectuer son examen trop mécanique. Cela dure quelques minutes ; sa calme indifférence me rassure un peu, quant à ma honte de me présenter ainsi en bas coquins et le sexe lisse. Mon cœur reprend un rythme presque normal. — Bon, eh bien je ne vois rien d’anormal, je vais vous prescrire un anti-inflammatoire, cela apaisera vos douleurs. Et il me laisse ainsi, allongée, les pieds coincés dans les étriers, le sexe nu et ouvert face à lui. Il s’assoit à son bureau et commence à rédiger l’ordonnance. Ma gêne revient alors au grand galop. Je pourrais alors lui demander si je peux me rhabiller ; je ne peux rien faire. Il rajoute, levant son regard sur moi : — Je vous mets aussi un tube de crème X à passer sur la peau après le passage du rasoir, vous devez absolument la soigner après le rasage si vous voulez en préserver la douceur. Je marque à renouveler deux fois, ainsi vous serez tranquille jusqu’à votre prochaine visite. Je reste prostrée, ouverte, indécente et muette, incapable de dire quoi que ce soit. De toute façon c’est la panique dans ma tête, ai-je bien compris qu’il m’invite à garder ma position ? Il apprécie ? Il se lève de son bureau, se dirige vers une armoire, l’ouvre et prend un tube de crème, se retourne vers moi, s’approche et dit d’une voix douce — C’est joli et j’envie votre mari mais une peau aussi ...
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