Mon ami gynéco - 1
Datte: 17/05/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
médical,
fépilée,
rasage,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
f+medical,
... douce mérite des soins attentifs. Il dispose alors une bonne noix de crème sur mon pubis et commence à masser pour la faire pénétrer. Je ferme les yeux et l’entends me dire : — Ça va ? J’ouvre les yeux, il me sourit en continuant son doux massage. Quel idiot ! Me demander si ça va ? Autant demander à un aveugle s’il veut voir ? Je ne réponds pas, esquisse un sourire et laisse ma tête retomber en arrière, yeux clos. Il me masse longuement, étale la crème bienfaitrice partout où le rasoir est passé, il m’excite affreusement. Des fois, mon mari s’amuse à me caresser autour sans toucher mon clitoris – je ne le supporte que peu de temps et le force à aller plus loin. Je dois me retenir. Sa main glisse le long des grandes lèvres, nerveusement je resserre les genoux, ses doigts glissent alors dans mon sexe trempé. Il ne l’a pas fait exprès, moi non-plus, juste mon geste nerveux de pudeur mal placée. J’ouvre à nouveau mes cuisses pour le laisser travailler, ses doigts ne quittent pas mon intimité, ça y est, il me caresse, me pénètre. Ses doigts, pincent mon clitoris, me caressent, me pénètrent, m’enivrent. Je suis à 500 km de là, quinze ans en arrière, on avait ri en cours et nous avions écopé tous les deux d’une colle dans cette classe sordide. Le pion avait disparu, j’étais couchée sur le grand bureau du prof, Jeff me tenait par les chevilles, cuisses ouvertes ; il dévorait mon sexe de sa bouche d’adolescent gourmand. J’ai eu alors un orgasme d’une rare intensité, long, profond. ...
... J’ouvre les yeux, un peu sonnée, nous ne sommes pas en colle, le rêve s’est envolé, ne reste que des regrets et ce plaisir fugace. — Tu étais quand même plus timide, il y a quinze ans ! dit-il calmement en continuant ses caresses. Le triple goujat ! Non seulement, il m’avait reconnue mais il a joué avec moi tout ce temps ! Il me murmure : — Ne reste pas là-dessus, ce n’est pas très confortable. Et il pose un baiser sur mes lèvres. Il m’aide à descendre de la table. À peine debout, au milieu de la pièce, il me prend dans ses bras et m’embrasse comme l’adolescent qu’il est resté pour moi. Je ne sais pas comment il s’y est pris mais, sans vraiment cesser de m’enlacer et de me caresser, il se dégage et pose le bout de sa verge à l’entrée de mon sexe. Il a réussi à enfiler un préservatif, je ne saurais dire quand, ni comment. Je n’ai qu’à lever une jambe pour l’avaler tout entière. Sa main prend toute ma fesse et soulage ma jambe. Il me pénètre ainsi, debout mais avec autant de tendresse que d’ardeur. Très vite un second orgasme me traverse, il n’attend pas beaucoup plus et me crie presque : — J’arrive, donne-moi ta bouche. Je me laisse presque tomber à genoux alors qu’il retire son préservatif. J’attrape son sexe et le guide entre mes lèvres. Il explose immédiatement, je sens le flot brûlant sur ma langue et dans ma gorge. Il est épais, salé, différent de celui que je connais. Je l’ai et ne veux plus le lâcher. Je le bois jusqu’à la dernière goutte et insiste longtemps. Je le sens ...