1. LE SERVICE.


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ma décision de lui rendre service. Ce fut dans cet état d’exhortation que je démarrais la voiture et m'engageais dans la circulation, me dirigeant vers la sortie du faubourg. Dominique sur le siège passager. Pour mon plus grand plaisir, un de plus, elle avait cantonné son Thierry à faire ses devoirs. Un moyen comme un autre pour qu’en se retrouve seul. Je soupçonnais qu’elle avait un projet en tête. J’étais prêt à bondir sur elle à la première opportunité. J'étais pressé d'arriver sur place. - Je suis très touché que tu es accepté de me rendre ce service. Me dit-elle, alors que je m’engageais sur le parking du stade. Côté visiteur. Au milieu de nulle part. Sur ma droite se tenait une bâtisse faisant office de vestiaire. Bien sûr en ce samedi l’endroit était désert, à la différence des jours de match. Je coupais le moteur et serrais le frein à main. Dominique prit ses aises, en allongeant ses jambes. J’en profiter pour lorgner ses cuisses gainées de bas résille fantaisie. - Il fait chaud dans la voiture, fit-elle en déboutonnant les boutons de son manteau. Pour en écarter les pans. Ses seins faisaient pointés son chemisier. Je n’ai pas pu résister de jeter à nouveau un œil dans son décolleté. Mes doigts fourmillaient de l’envie de les palper. Je sentais le volume de mes testicules changer. Comme si ma sève en remplissait peu à peu l’intérieur. Ma verge se dressa remplissant tout l’espace de mon slip. De sa place, elle ne pouvait pas ignorer mon état. - Le gardien ne va pas ...
    ... tarder. Me forçais-je à dire comme pour me contenir mon excès d’excitation. Mais pour aussi couper court au silence qui s’était installé depuis notre arrivée. Sans doute chacun attendant que l’autre prenne l’initiative de faire le premier pas. - Oui. Répondit-elle en regardant sa montre. Il ne va pas tarder. Il est pile 13H30. Je tournais alors la tête du côté de ma vitre, pour guetter l’arrivée proche du gardien. J’avais délaissé pour quelques instants le décolleté de ma présidente. Je profitais de ce moment d’inaction pour agiter mes méninges. Cherchant une ouverture pour me faire la présidente. Surtout que mes besoins sexuels devenaient dévorants. Je me masturbais toutes les nuits, plusieurs fois et souvent même, au cours de la journée. Je ne savais pas combien de minutes s’étaient égrainées et toujours pas de gardien. - Il n’est pas ponctuel, fils-je en tournant ma tête du côté de ma passagère. Et là je fus témoin d’une scène utopique. Sur son siège, ma chère présidente avait relevé sa jupe. Hormis son collant résille avec une fenêtre, elle ne portait strictement rien dessous. On en mangerait, me disais-je. Je restais paralysé par l’étonnement. Liquéfier devant cette spontanéité immorale. Ma tension artérielle bondit. Irradiant mon corps d’ondes de bonheur. J’avais du mal à détacher mes yeux du gros minou, luisant au milieu d’une toison pubienne brute de toutes tailles Je me sentis rougir. Je captais aussi une ficelle de couleur blanche qui m’échapper de son antre. Elle ...
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