1. LE SERVICE.


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Je me retenais et des gouttes de sueur perlaient sur la nuque. Ma compagne délirait et tremblait. Un spasme la secoua une première fois, puis une autre. Elle cria, elle aimait çà. Son cul branlait mon sexe. Me faisant pénétrer loin en elle. Ses contractions capturaient mon sexe, le malaxaient. Je ne pouvais presque plus bouger tellement elle me serrait. Incapable de résister à un tel traitement, je me laissais aller. J’éjaculais à gros jets, puissants chauds. Elle m’attrapa par le cou et me donna un baiser avant de me dire : - Merci c'était vraiment trop bon. On recommence quand tu veux. Ses yeux brillaient, rieurs. En tout cas elle avait pris son pied. Comme moi. Je me rajustais, essoufflé. La tête aussi vide que le reste. Quelques minutes plus tard, j’étais chez elle, dans son salon, assis sur le divan, face à son époux. Putain que j’adorais ses instants privilégiés où après la poignée de main, avec celle qui avait tripoté sa femme quelques minutes plus tôt, nous voilà en train de discuter amicalement alors que mon sperme souille encore le cul de sa femme. Mais le cocu était euphorique, d’avoir passé avec son équipe un tour supplémentaire de coupe de France. - Et la bouteille de champagne. J’espère que tu la mis au réfrigérateur. Fit sa femme. Le mari se mit à rire. - C’est vraie chérie. J’aurai dû en prendre une. - Il n’est pas tard mon cher. Tu peux toujours aller en chercher une. - Oh ! Je ne sais pas si… répondit-il. Sans être Devin, je devinais qu’elle désirait ...
    ... éloigner son époux. - Bon je crois que je ne n’ai pas le choix. Fit-il en se redressant. Tu viens avec moi Alain . - Non… non, répliqua Dominique, nous devons encore nous mettre d’accord pour le match de demain. Tiens Thierry va donc avec ton père. Le gamin ne se fit pas prier. Laissant choir ses devoirs sur la table, il partit mettre ses baskets. Je savais que j’allais de nouveau donner de ma personne. À peine avait-il franchit la porte d’entrée, qu’elle me sauta dessus. - Perdant pas de temps, me lançait-elle. J'eus, un bref instant, l'étrange impression d'être devenue à présent la proie de la dévoreuse Dominique. Elle prit pour l’occasion un air supérieur et autoritaire pour me dire : - Je veux te voir nu comme un ver à mon retour. Alors que je me déshabillais je l’entendis verrouiller la porte d’entrée. À son retour elle tenait une bombe de chantilly. Alors Dominique fit quelque chose que je n’oublierais jamais. Elle pressa sur le spray chantilly déposant une noix de crème épaisse sur le bout du pénis. Me fixant des yeux, elle s’agenouilla et approcha à sa bouche entrouverte pour m’engloutir. Sa langue lapa la chantilly. Interloqué, le regard rivé au sien, je restais sans voix. Elle se retira pour remettre de la chantilly sur toute la longueur de ma verge. La crème froide et onctueuse me donnait des petits fritssons. La bouche de Dominique revint à la charge cette fois plus ouverte que jamais. Ses lèvres se refermèrent sur la base de ma verge. À l'intérieur, sa langue ...
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