Einstein (14)
Datte: 18/05/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... s’accéléraient et elle y prenait gout, mais l’homme aussi. Alors de soupirs en gémissements, la cuisine retrouvait un peu d’une vie trop longuement disparue. L’amour pratiqué de cette manière était un délicieux intermède, un prélude à une bonne journée. Les deux amants se réunissaient encore une fois et elle ressentait en elle le plaisir simple d’être prise à la « papa maman ». Pas de trucs plus ou moins sophistiqués, juste l’essentiel. Des attouchements génitaux et buccaux pour se donner envie, suivis d’une pénétration bien profonde, bien caressante et relaxante. Elle en oubliait presque les coups tordus de ses deux derniers amants, qui lui avaient offert d’autres plaisirs, mais combien plus dangereux aussi ! Tout bêtement elle revenait aux sources, à ces petits bonheurs sans nuages, à une ligne de conduite plus en adéquation avec sa vision de l’amour. Pour le moment elle ne demandait rien d’autre à la vie. Si un jour elle se sentait l’envie de recommencer ses expériences, d’être qui savait, peut-être encore soumise, elle saurait lui en faire part. Pour le moment la façon dont Guillaume la baisait lui paraissait la meilleure. Toute la journée, ils avaient dans chaque recoin de sa maison, mais aussi chez Guillaume refait ensemble les gestes immuables qui les envoyaient à coup sûr au paradis. Elle ne s’en lassait plus, extériorisant ses jouissances par des cris ininterrompus. Sur le métier, mille fois ils avaient remis leur ouvrage et tous les deux s’en trouvaient comblés. Cet ...
... homme arrivait à bander sur commande pratiquement. Elle n’était pas en reste et se laissait porter par ces envies qui la tenaillaient. En clair, plus ils faisaient l’amour, plus elle avait envie de le faire. Elle s’essayait même à boire sa semence jusqu’à la dernière gouttelette. — oooOOooo — Le lendemain, il avait regagné son logis. Il travaillait dans la journée et quand elle décrochait le téléphone, elle pensait vraiment que c’était lui qui appelait... déjà. Mais non ! La voix qui s’annonçait n’avait rien de celle de Guillaume. Marc... elle l’avait reconnu de suite. Il tentait une fois de plus de relancer la machine. Mais pas question pour elle de se catapulter dans une nouvelle aventure avec lui. Ni avec Victor du reste. Elle n’était pas loin de penser que Guillaume allait lui suffire. Dépité, le gaillard avait été à la limite de la politesse et presque menaçant. Tellement odieux qu’elle avait raccroché prestement alors que quelques insultes fusaient déjà. Le soir, elle restait seule. Son nouveau chevalier servant n’avait pas sonné à la porte. Bon, comme elle, il devait avoir besoin d’une bonne nuit de sommeil. Et Maryse ne trouvait pas anormal qu’il ne vienne pas la relancer. Elle se mettait alors en boule sur son canapé et la télévision en toile de fond, s’endormait d’un trait. Einstein aboyait et c’était ce qui motivait son retour aux réalités. Le sursaut qu’elle venait de faire, l’avait tiré d’un rêve plus ou moins érotique. Mais le berger allemand grognait devant la ...