1. C'est encore nous...


    Datte: 19/07/2017, Catégories: ff, voisins, amour, intermast, Oral fgode, fsodo,

    ... offertes dans un long baiser qui nous a embrasées à nouveau. Elle m’échappa, se redressant en riant. Debout face à moi, elle planta son regard dans le mien. J’y retrouvais cette lueur étrange que j’avais entrevue plus tôt, juste avant qu’elle ne me fasse jouir, une main totalement fichée en moi. — Attends-moi une minute, je reviens… J’ai trop envie de t’offrir encore plein de caresses, de plaisir.— Et moi donc, ma trop jolie voisine ! J’ai aussi de folles envies… Nathalie s’élança dans les escaliers. Quelques minutes plus tard, à nouveau assise dans le grand fauteuil, je l’entendis redescendre. Toujours en peignoir, elle s’approcha dans mon dos, derrière le dossier du fauteuil, se pencha vers moi, posa les mains sur mes épaules, ses lèvres dans mon cou. Elle picora ma peau de petits coups de langue tandis que ses doigts erraient dans l’échancrure de mon vêtement pour venir empaumer mes seins, en agacer les pointes déjà durcies d’envie. Contournant le fauteuil, elle se laissa glisser à genoux, face à moi. Elle me sourit, ses grands yeux bleus, rieurs, accrochèrent mon regard, la douceur de ses mains sur mes jambes me faisait frémir. Ses lèvres suivaient le jeu de ses doigts sur ma peau, remontant lentement sur mes cuisses. Je n’en pouvais plus… Inconsciente de mon impudeur, je m’ouvris à ses caresses, je m’offris totalement à ce plaisir qui m’arrachait de longs frissons. Nat profita de mon abandon ; sa bouche, ses lèvres, ses doigts prirent possession de mon intimité ...
    ... bouleversée. C’était doux, tendre, suave et je me sentis très vite possédée par ces plaisirs nouveaux, un pouce de Nat excitant ma perle sensible, sa langue agile s’insinuant en moi tandis qu’un doigt humide forçait tendrement la corolle qui la conduisit au creux de mes reins. Je martyrisais mes seins des deux mains en haletant. Enfin l’orgasme me submergea ! J’eus l’impression de perdre connaissance, mais les mains, la bouche de Nat courant toujours sur mon corps offert me ramenèrent vite à la réalité : j’avais encore envie… Elle venait de déclencher en moi un véritable ouragan ! — Hummm… Kris… Tu es vraiment affolante ! J’adore ton plaisir, ton corps, et j’ai très envie de t’offrir encore plus !— Impossible, tu m’as tuée ! C’était trop bon, trop fort !— Crois-tu ? Mais d’abord, le champagne… Nous entrechoquâmes nos flûtes, les yeux dans les yeux. Nat porta son verre à ses lèvres, se pencha vers moi et, dans un langoureux baiser, elle me fit partager une gorgée du frais liquide, mêlé à sa douce salive. Le baiser s’éternisa à nouveau, sensuel, délicieux ! Je posai maladroitement ma flûte ; mes doigts partirent à l’aventure et retrouvèrent enfin la douceur de ses seins gonflés, aux pointes érigées. Elle posa ses mains sur les miennes, me maintenant sur ses globes frémissants. Je n’en pouvais plus… — Ma chérie… Maintenant que nous sommes intimes, que je t’ai avoué ma petite tricherie, j’ai très envie de te faire une surprise.— Tout ce que tu veux, jolie coquine ! Mais moi aussi, je veux ...
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