1. C'est encore nous...


    Datte: 19/07/2017, Catégories: ff, voisins, amour, intermast, Oral fgode, fsodo,

    ... de maîtriser l’envie qui me tordait les entrailles, je suis venue m’empaler encore plus sur sa main, source d’un plaisir que je désirais plus fort encore. Sa bouche m’a abandonnée, mais ses doigts prolongeaient leur danse tandis que son autre main flattait mes flancs, pressait mes seins avant de se poser sur ma hanche pour accompagner les petits à-coups au creux de mes reins. Les yeux fermés, haletante, frémissante, je sentais monter en moi un nouveau raz-de-marée. Mais Nat en avait décidé autrement… ! — Oh non… ! Ma supplique fit suite au grand vide que je ressentis lorsque sa main se retira lentement de mes reins. — Ne sois pas impatiente… C’est excitant parfois d’attendre un peu, de calmer le jeu pour repartir de plus belle… On dit souvent « Plus c’est long, plus c’est bon ! » En amour aussi, ma belle, et je vais te le prouver dans tous les sens du terme.— Tu es diabolique… ! Mais c’est trop bon, j’aime. Hummm…— Alors, si tu aimes tant que ça, pense que moi aussi, j’ai très envie d’aller au bout de mes, de nos envies… Une main toujours posée sur le bas de mon dos, elle me fit me cambrer. Ma position devait être totalement obscène, mais le foyer qui brûlait mon ventre me poussa à accentuer plus encore la cambrure de mes reins, dans l’attente du plaisir dont elle m’avait sevrée en abandonnant ses caresses. Reprenant mes hanches à deux mains, elle m’attira en arrière, m’empalant à nouveau sur le lourd mandrin. Donnant de tout petits coups de reins, elle guidait l’énorme gland ...
    ... qui heurtait en cadence mon utérus, déclenchant à chaque choc une véritable décharge électrique qui parcourait mon corps entier. Je commençais à me tordre autour de la tige de latex, avide de ces folles sensations. Lorsque Nat pesa du pouce sur mon anus, elle n’eut aucun mal à le faire glisser en moi tant j’étais encore lubrifiée de nos jeux précédents. Doucement, elle s’est retirée de mon ventre, son pouce a lui aussi abandonné mes reins. Le frôlement humide du pieu sur ma rosette m’a tiré un petit cri qui s’est mué en un long soupir quand le sexe monstrueux a franchi la barrière de mes reins et s’est enfoncé lentement, dilatant mes chairs. Je sentais l’énorme colonne pousser inexorablement le gland soyeux toujours plus loin dans mes entrailles. Le contact des cuisses de mon amante sur mes fesses fit cesser cette folle progression. J’étais pleine, embrochée, comblée… ! Cela m’était déjà arrivé avec des amants masculins, mais le fait que ce soit Nat, une si frêle, si affolante créature, amplifiait mon excitation et je n’avais plus qu’un désir lancinant : jouir ! Les mains crochetées sur mes hanches, elle débuta une sarabande diabolique, alternant les coups de reins brusques aux tendres va-et-vient. Le plaisir physique fut brusquement décuplé par les mots qu’elle se mit à me susurrer à l‘oreille : — Tu aimes, ma chérie, que je te prenne comme un homme, que je t’encule aussi fort que le plus fougueux de tes amants ? Moi, je vais jouir de ton plaisir ! Je suis arrivée à glisser ...
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