1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... m’appelle. Je m’apprête à passer sous le portique. Je t’appelle aussitôt arrivé à Guipavas. Je t’embrasse. — Moi aussi ! Fais vite… j’ai envie d’une saucisse de Francfort. Enfin, un peu plus grosse tout de même ! dit-elle en riant. — Et moi de moules de Concarneau ! Et je raccrochai, satisfait car l’affaire était bien réglée et empaquetée. _____________________ Ingrid s’était levée du divan pour aller porter le plateau vide dans la cuisine. Elle emporta la bouteille après avoir versé le reste dans ma flûte. Elle était en peignoir de bain blanc noué à la ceinture. Au niveau de la poitrine, l’échancrure laissait un passage à ses ; seuls les aréoles et les tétons restaient cachés à ma vue. Même sans escarpins à talons aiguilles, elle avait de très belles jambes et mollets, musclés et sculptés à souhaits par des séances de fitness (elle me l’avait avoué lors d’une conversation). — On va se coucher,Liebling ? me demanda-t-elle. Tu es fatigué, et demain tu as encore une journée bien chargée. Elle ne croyait pas si bien dire ! Je quittai à contrecœur le confort du divan et fermai les pans de mon peignoir qui s’étaient ouverts et ne couvraient plus rien de ma masculinité. Je me réajustai et suivis ma chef de cabine, maîtresse et hôtesse dans sa chambre à coucher. Une pièce qui me parut immense avec en son centre, contre le mur du fond, un lit avec un matelas à eau dont la couette avait été retirée, comme une invitation à s’y allonger. De chaque côté de ce lit, de cette invitation au ...
    ... péché, une table de chevet avec une lampe dont l’abat-jour diffusait une lumière tamisée reposante. — Allonge-toi, mon chéri ; mets-toi du côté que tu désires. Le temps de faire une rapide toilette et je viens te rejoindre. Je choisis le côté droit du lit, car ainsi j’avais toute ma liberté de mouvements pour ma main droite et je dormais sur le côté gauche. J’aimais bien, lorsque je ne dormais pas seul, enlacer ma partenaire en m’endormant. Elle était un peu, par transposition, le « doudou » vivant et humain. J’ôtai mon peignoir que je déposai sur une chaise Louis XV tapissée de velours violet, et nu comme un ver je m’allongeai. S’allonger sur un water bed est quelque peu étrange pour celui qui n’en n’a pas l’habitude : on se croirait sur un canot pneumatique qui berce son passager au gré des vagues, quoique là il n’y a pas de vagues ; c’était la masse de mon corps qui, par le principe d’Archimède, déplaçait le volume d’eau dans la partie non sollicitée. Le matelas était chauffé à température du corps humain, et la sensation ressentie était plus qu’agréable. Ingrid entra dans la chambre, nue comme une nymphe sortie du paradis. Ses seins fermes semblaient défier la pesanteur ; son pubis épilé était une invitation permanente à la dégustation. Elle avait coiffé ses cheveux en une natte qui pendait sur son épaule gauche. Elle entra dans le lit du côté gauche, occasionnant un mouvement de déplacement de la masse liquide dans tout le matelas. Elle plaça sa tête sur mon épaule, se ...
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