1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo,

    ... gros bouton avec mon nez. Ça lui plaisait, ça l’enchantait même, si j’en jugeais par les encouragements qu’elle me prodiguait et sa manière de pousser son bassin vers moi pour me forcer à aller plus profond. —Je te salue, Ô merveillette fente, Qui vivement entre ces flancs reluis… Putain, c’est quoi l’histoire ? De saisissement, j’abandonnai sa chatte et me retrouvai le cul sur mes pieds. Je lui jetai un regard d’incompréhension. Je découvris un visage extatique. —… salue, Ô bienheureux… Qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi tu arrêtes ?— Tu me demandes pourquoi j’arrête ? Ça te prend souvent de réciter de la poésie en baisant ?— Toujours. Si tu reprenais, je t’expliquerai après. Joignant le geste à la parole, elle avait attrapé ma tête et la conduisait vers son minou. Je me remis à l’ouvrage. Elle ne devait pas avoir perdu beaucoup d’altitude, car au bout de quelques coups de langue, elle réitéra : —Je te salue, Ô merveillette fente, Qui vivement entre ces flancs reluit… Pour la saluer, je la saluai, ladite fente. Je m’y décrochai la langue à force de la vénérer. —Je te salue, Ô bienheureux pertuis, Qui rend ma vie heureusement contente Ce maudit poète n’aurait pas pu dire trou du cul comme tout le monde. Manifestement, Gise voulait que je m’occupe du sien. Elle avait poussé son bassin vers l’avant et seul, le haut de sa croupe reposait encore sur la chaise. —C’est toi qui fais que plus ne me tourmente L’archer volant qui causait mes ennuis ; Oup’s … Un mec avec son arc… ...
    ... bandé, je suppose —T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente. J’avais pourtant pas l’impression qu’elle voulait me voir ralentir. Remontant ses cuisses contre sa poitrine, elle m’ouvrait grand la porte conduisant à sa rosette. La position était acrobatique, mais elle poursuivait sans faiblir. — Ô petit trou, trou mignard, trou velu, Le petit trou velu, mes pouces s’y appuyaient maintenant provoquant des spasmes inquiétants pour l’équilibre de ma cavalière. —D’un poil folet mollement crespelu, Qui à ton gré dompte les plus rebelles : Je ne risquai plus d’éjaculation « mal t’à propos ». Mon excitation avait chuté de quelques degrés. Je pouvais ainsi me consacrer totalement à Gisèle et sa quête de plaisir. Je délaissai sa vulve, embouchai son bouton que je tétai tel un nourrisson affamé le sein de sa mère. Gardant un pouce pressé sur son mignon troufignon, j’envoyai l’autre combler le vide laissé par ma langue. Progressivement sa voix s’altéra, sa diction dérailla, se morcela — D’un Tous vers galans… deeeevraient, pour….. t’honorerererer, À beauxbobobo genoux teveniradorer, ouuuuuuuuuuuuuui Tenaaaaaaaaaaaaaant au… si si si … pppppoing leurs flamb… Les derniers mots se perdirent dans un galimatias d’onomatopées pour finir en une longue plainte avant un complet relâchement de tout son corps. — À toi maintenant ! J’ai hâte de goûter à ta bistouquette, dit-elle en se levant dans un équilibre précaire.— OK, ma belle ! Mais juste goûter sinon la soirée ...
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