1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo,

    ... risque d’être finie.— Rassure-toi, je n’en suis pas à ma première fellation. Voulez-vous prendre place, cher ami, me lança-t-elle en me désignant la chaise. Je m’assis, légèrement inquiet. Avec K…, Mai, j’avais retrouvé l’habitude de longues fellations et acquis une nouvelle endurance. Mais c’était avec Mai … Craintes injustifiées. Gisèle se révéla très douce. Elle dégusta mon phallus comme un ice-cream. Du périnée au méat, sa langue n’épargna aucun centimètre carré. Avec la seule aide de ses lèvres, elle le décapuchonna. Lorsqu’elle l’absorba, je n’avais plus aucune inquiétude. Malgré la grosseur de mon gland, sa langue tournicotait autour quand ses lèvres ne coulissaient pas sur cette hampe fièrement dressée (je sais : cliché). Mes petits spermatos avaient-ils l’intention de faire un tour dehors, qu’elle stoppait momentanément son activité tout en me comprimant les couilles. Après quelques minutes, elle rendit sa liberté à une queue à limite d’explosion. — Je crois qu’il est temps d’abandonner le champ de bataille.— T’as raison ! Ça aurait été dommage de s’arrêter en si bon chemin alors que le Père Noël n’est pas encore passé.— On le boit ce café ? ********** Intermède — Je crois que tu me dois quelques éclaircissements, lui déclarai-je, une fois installé devant mon café. Elle me jeta un bref regard ébahi avant de réaliser à quoi je faisais allusion. — C’est vrai ! Je n’y pensais plus.— Moi si !— Ça remonte à mon adolescence, entama-t-elle. À mon tour de la regarder avec ...
    ... des yeux de merlans frits. — J’étais au collège quand j’ai sacrifié ma virginité avec un camarade de classe. On faisait ça chez ses parents. Comme tu peux t’en douter, les premières fois, je n’ai pas grimpé aux rideaux. Mais la troisième fois, si. Et j’ai commencé à crier : « Mais qu’est-ce que tu me fais, qu’est-ce que tu me fais ! » très fort et sur un ton de plus en plus aigu. Mon copain n’a eu d’autre solution que de me plaquer sa main sur la bouche ! Sa mère, couturière à domicile, travaillait dans la pièce en dessous. Sa machine à coudre avait beau être bruyante…— Fallait mieux pas tenter le diable !— Sûr ! Ça a coupé nos effets.— Le rapport avec ton poème ?— J’y viens. On a cherché une solution et c’est mon copain qui l’a trouvé en croyant se moquer.— Il t’a dit de réciter une poésie cochonne ?— Cochonne, non ! Mais, il m’a dit : « puisque t’es la meilleure de la classe en poésie, quand tu sens que ça vient, tu n’as qu’à réciter un poème à voix basse.— ….— Et crois-le si tu veux ça a marché. Nous étudiions Hugo : « Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, je partirai… » Tu vois, je m’en rappelle encore.— J’aurais voulu voir ça !— Quand je dis : « ça a marché ». Ça m’a du moins permis de jouir sans jamais atteindre le septième. Quand j’ai pu me lâcher vocalement, comme tout à l’heure, là, je m’éclate.— Dois-je comprendre que tu t’es éclatée tout à l’heure ?— Connard !— Une gentillesse enfin ! Tu connais des gros mots maintenant ? Comment es-tu passée de ...
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