1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo,

    ... dans ses entrailles aussi facilement qu’un couteau dans une motte de beurre bien grasse. Je commençai alors de très lents va-et-vient sortant à chaque fois mon vit de cette gangue onctueuse. Je m’aidais d’abord de la main pour remettre ma queue en place puis je la laissai fort efficacement vivre sa vie. Je plaquai mes paumes sur le haut de ses cuisses (ou le bas de ses fesses, c’est comme vous voulez), de telle sorte que mon pouce droit titille son clitounet alors que son frère gauchiste montait et descendait le long de la ligne de crête formée par les lèvres jointes. Les soupirs de ma belle, pas endormie du tout, augmentèrent en intensité pour se transformer peu à peu en ahanements pas vraiment classes. Enfin arriva le moment où ce cher vieux Ronsard entrait en scène. —Je te salue, Ô merveillette fente, Qui vivement entre ces flancs reluis…. C’était le moment pour moi de passer la vitesse supérieure. Empoignant ses chevilles, je me cabrai et, tendu comme un arc, je la pistonnai crescendo. Après quelques va-et-vient, je lâchai la sauce. Gisèle continuait de déclamer, mais de manière de moins en moins audible. Ses sphincters généreusement oints par ma douche de sperme rendaient plus douillets mes allers-retours. J’étais à sec ; la « décompression » était proche et aussi la désillusion pour Gisèle quand soudain, le poème s’interrompit et elle cria, non hurla un truc totalement incompréhensible du genre : « OUUUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAABONBONCTRO » avant de devenir toute molle, de ...
    ... s’avachir, jambes ouvertes. Je tentai de planter ma bite dans sa vulve détrempée. Je parvins à faire quatre ou cinq trajets avant que la bête ne s’affaisse, flasque, à l’entrée du temple. — Hé, oui, vous n’avez plus vingt ans, Messire, ricana ma belle amie qui retrouvait déjà son esprit. Mais rassure-toi, moi non plus. Tu m’as épuisée. Je te propose une petite pause. ********** Ultime round La pause dura beaucoup plus longtemps que prévu. Gisèle voulut remettre le couvert au bout d’une demi-heure. Mais tous ses efforts manuels, buccaux, voire mammaires, restèrent vains. Elle ne parvint pas à tirer monsieur Popaul de la léthargie bienheureuse dans laquelle, il était tombé. Pas vraiment perturbée, elle s’endormit, blottie contre moi. Je ne trouvais pas le sommeil. D’avoir fait l’amour avec beaucoup de plaisir à la clé m’avait, paradoxalement, foutu le moral à zéro. Je m’étais éclaté, mais cela n’avait rien de commun avec cette communion qui s’établissait avec Ki… Mai Line. L’amitié, la tendresse, la complicité même l’humour avait répondu présent, mais il manquait ce petit, pardon ce gros plus, cette flamme, qui faisait que chacune de nos étreintes finissait en feu d’artifice. En plus cette confusion récurrente entre les deux frangines me prenait la tête. Ça tournait à la mauvaise histoire genre conte pornographique à la Domi Dupon. Me restait plus qu’à séduire la mère et là, on y était vraiment. Je devais réagir. Au petit matin, quand Gisèle se réveilla, je n’avais pas dormi du ...
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