1. Les deux veuves


    Datte: 20/07/2017, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, couple, extracon, collection, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... de sa salive. Elle le lui avait doucement poussé vers sa bouche, pour qu’elle apprenne à lui dispenser cette caresse dont il semblait apprécier le régal. Ce changement de bouche et l’inexpérience d’Alice en la matière avaient fait ouvrir les yeux d’Eugène qui découvrait - avec un certain effarement en même temps qu’un immense contentement - qu’à ses pieds se trouvaient les deux femmes qu’il aimait : sa femme et sa maîtresse. Non seulement elles étaient là, ensemble, mais en plus elles s’occupaient de lui. Dans une même caresse, avec une même ferveur, elles se partageaient son corps. Ses yeux étaient largement ouverts car il ne voulait plus perdre une miette de l’affriolant spectacle que ses deux femmes lui offraient. Elles se l’échangeaient et se le répartissaient équitablement. Par instants, leurs doigts sur sa hampe se mélangeaient, et à d’autres moments leurs bouches se touchaient. Cette vision avait tellement excité ce pauvre Eugène qu’il en avait perdu le contrôle de son corps et s’était largement répandu dans le vide. Une fois encore, à l’évocation du souvenir d’Eugène dépité, à moitié nu, les deux femmes se jetèrent un nouveau et long regard complice qui en disait presque plus long sur leur duplicité que la scène qu’elles me décrivaient. Sans attendre que leurs rires se calment, Alice reprit le fil de son histoire. À la suite de cette séance inimaginable pour Eugène, il lui avait fallu attendre encore quelques longues semaines pour qu’une nouvelle étape ne soit ...
    ... franchie. Depuis ce dimanche-là, Mathilde avait pris l’habitude de prendre de temps à autre le chemin de la ferme et, après le repas, les deux femmes s’occupaient d’Eugène. Eugène, lui, n’osait rien dire, rien commenter, rien demander. Il avait bien trop peur que cette situation ne sonne l’hallali de son couple légitime et illégitime. Alors, il s’était contenté de ce que les deux femmes voulaient bien lui donner, lui offrir comme plaisir. En devenant l’amant de Mathilde, il avait découvert dans ses bras le plaisir et les caresses osées. Des caresses et des gestes qu’il avait déjà vus dans des films érotiques ou entrevus dans des revues cochonnes feuilletées à la va-vite dans les kiosques de gare. Il les avait enfouis loin dans son imaginaire et n’avait jamais pensé pouvoir un jour en dispenser et surtout en recevoir. Comme Alice, sa femme légitime, il était arrivé au mariage à peu près aussi innocent qu’elle. Bien sûr, les copains de l’armée l’avaient traîné au bordel de campagne pendant la guerre d’Algérie. Là il avait perdu son pucelage, mais c’était un vieux et lointain souvenir qu’il n’avait jamais pensé mettre en pratique avec sa femme. Puis sa rencontre avec Mathilde avait fait remonter toutes ses frustrations, ses années de plaisirs perdus. Avec elle, il avait découvert les caresses buccales sur son sexe, elles qui savaient si étonnamment animer ou réanimer sa flamme. Elle l’avait initié aux plaisirs féminins, lui avait fait découvrir le goût salé et un peu âcre de ses ...
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