Les deux veuves
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
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couple,
extracon,
collection,
amour,
volupté,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... découvertes étaient son Amérique à elle. Et la science et la connaissance de Mathilde, en matière sexuelle, s’enracinaient de plus en plus profondément dans l’esprit d’Alice. Une intimité s’était alors instaurée entre les deux femmes - au fil des rencontres et des discussions - cimentant aussi le couple, les rapprochant de plus en plus vers la solution souvent évoquée ensemble et tant espérée par Eugène : vivre à trois. Pourtant, avant d’adopter une telle solution, de nouvelles et fortes étapes devaient être franchies pour qu’Alice accepte un tel partage. Les séances de fellation en avaient été une, et pas des moindres. Mais il fallait qu’Alice apprenne aussi à connaître son corps puis celui de son mari et qu’elle accepte celui de sa maîtresse. C’est à cela que Mathilde, durant de longues semaines, avait travaillé avec acharnement, sans en parler avec Eugène, tandis que leurs rencontres « secrètes » continuaient. Mais souvent, au grand dam d’Eugène, à cette époque-là elle le laissait monter tout seul à Bruxelles, préférant venir tenir compagnie à Alice. Là, en tête-à-tête, les deux femmes passaient de longues soirées à parler, parler et encore parler. Mathilde s’était rendu compte qu’Alice n’avait jamais connu véritablement de plaisir dans l’acte d’amour. Du moins, c’était ce qui ressortait de leurs longues discussions. Quand les deux femmes avaient terminé de causer, Mathilde, une fois seule dans sa chambre, se caressait en repensant à leur soirée, imaginant son amant, seul ...
... à Bruxelles. Elle se caressait longuement et retardait le plus possible la montée de sa jouissance qui éclatait pour la laisser hors d’haleine et frustrée. C’était dans ces moments-là qu’elle avait imaginé d’apprendre à Alice à connaître son corps, mettant à profit une de ces soirées pour l’instruire sur le plaisir féminin, la caresse et la masturbation. Alice, elle, se mettait souvent au lit l’esprit et le ventre troublé par les récits de Mathilde. Elle avait compris que la jeune femme, non seulement connaissait bien plus de choses qu’elle ne voulait lui en dire, mais qu’elle pratiquait des gestes qui - jusqu’à ce jour - restaient une forme de péché pour elle. En s’endormant, elle se remémorait pourtant les récits de Mathilde, ses mains partaient de plus en plus souvent à l’exploration de son corps. Elle avait ainsi découvert la sensibilité de ses seins et de leurs mamelons, et la réceptivité de cette petite excroissance de chair qui pointait dans le haut de son sexe et qu’elle n’avait jamais essayé de stimuler. Elle en avait déjà, et à plusieurs reprises, expérimenté son extrême sensitivité et avait rapidement atteint les sommets d’une extase qui l’avait laissé exténuée… mais seule dans son lit. Voilà comment et pourquoi, lors de ces fameuses soirées, Mathilde avait réussi à entraîner Alice à se caresser devant elle, alors qu’elle réalisait les mêmes gestes. Assise dans un des fauteuils, alors qu’elle racontait à Alice une de ses fredaines avec un jeune coq bien membré d’un ...