1. Les deux veuves


    Datte: 20/07/2017, Catégories: f, fh, fhh, hplusag, fplusag, couple, extracon, collection, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... village voisin, Mathilde avait négligemment remonté sa jambe sur l’accoudoir et avait troussé sa jupe, pour atteindre son intimité. En face d’elle, Alice avait d’abord été un peu surprise de la tournure de la soirée puis, le récit l’émoustillant elle-même, elle avait imité Mathilde. Les deux femmes s’étaient caressées, l’une en face de l’autre, jusqu’à la jouissance, renforçant leur excitation par la vision du plaisir de l’autre. Et les deux complices avaient pris cette habitude, lorsqu’elles étaient seules, quand Mathilde se lançait dans un nouveau récit ou décrivait une scène particulièrement excitante de sa relation avec Eugène, cette habitude de se caresser, l’une en face de l’autre. Le jeu aurait pu durer longtemps mais Mathilde souhaitait franchir d’autres étapes : elle voulait faire accepter à Alice l’idée de faire l’amour à trois… Mais elle comprenait qu’il ne fallait surtout pas la brusquer, bien que les choses évoluent favorablement. Un soir, alors que les deux femmes venaient de se donner une longue séance de plaisir solitaire, tandis qu’Alice reprenait ses esprits, Mathilde s’était approchée d’elle. Alice fermait les yeux, la jupe troussée largement sur ses larges cuisses blanches, et sa poitrine lourde d’excitation se soulevait encore au rythme haletant des vagues d’une forte jouissance qui se calmaient. Tendrement, Mathilde lui avait pris les lèvres et les avait longuement baisées. Alice avait été surprise. Encore sous le coup de sa jouissance, le ventre humide ...
    ... de son plaisir, les cuisses chaudes et la main engourdie, elle s’était laissé faire. Elle avait aimé. Rapidement, elle avait même participé. Rendant le baiser à Mathilde qui en avait profité pour effleurer son corps avec ses mains, et était partie en une rapide exploration de son entrejambe pour y déclencher un long plaisir jusqu’alors inconnu. Plus tard, Alice devait lui avouer que ce premier contact de sa main sur et dans son intimité avait été - en dehors de sa propre main - une véritable révélation. Même Eugène, aux plus jeunes temps de leurs amours naissantes, n’avait jamais posé ses doigts ainsi sur et dans son sexe. Et comme elle en avait apprécié le contact, les deux femmes apprirent ainsi à se connaître l’une et l’autre. Elles devinrent de plus en plus audacieuses dans leurs caresses, leurs étreintes, transformant des soirées câlines en véritables corps à corps où le plaisir saphique était largement partagé et attendu par les deux femmes. Mathilde montait de plus en plus souvent après son travail, surtout quand Eugène n’était pas là. — Pauvre Eugène ! murmurait Mathilde sur un ton de compassion.— À ce moment-là, il était bien à plaindre… renchérissait Alice, avant de continuer. Durant toute cette période pendant laquelle sa maîtresse s’évertuait à conquérir sa femme, Eugène continuait ses déplacements à Bruxelles, de plus en plus souvent seul. Quand, par hasard, Mathilde daignait l’accompagner, alors c’était la fête ! À la ferme, seul le dimanche était réservé à son ...
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