1. Mon weekend chez Monica (2)


    Datte: 26/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... convulsions de désir. Comme si mon anus appelait avec fièvre une queue pour l’emplir. La passion que je mettais à lécher ce cuir n’échappa pas à Monica. « Ma parole, Claudia. Tu y prends goût ? » - « Madame. Excusez-moi de vous dire ça, mais vos amis m’ont tellement prise, aujourd’hui, ils m’ont tellement comblée, que je me sens vide, maintenant. Comme si je n’étais complète qu’avec ces deux sexes en moi. Et alors, cette odeur, ce goût... Ça m’excite tout l’intérieur. Ça me bouleverse. » Monica me fit ranger les dernières choses et me poussa ensuite, doucement, sans la moindre violence, contre la paroi de pierre, au fond de son donjon. « Claudia. Je tiens à te dire que j’ai été très satisfaite de toi, dans l’ensemble. Il y a cet appendice un peu trop prime qu’il faudra mieux apprendre à contrôler, mais en te voyant ce soir, j’ai l’impression qu’on a déjà fait un bon bout de chemin et que la maîtrise de tes pulsions viendra bien assez vite. Mais pour le reste, pour donner du plaisir aux hommes, tu es franchement douée. Tu es peut-être la meilleure esclave que j’ai eue. La plus prometteuse, en tout cas ! » Tout en parlant, elle m’attacha les poignets à un anneau qui pendait d’une poulie, au plafond. Puis, elle tira sur une sangle, et mes pieds quittèrent le sol. J’étais maintenant douloureusement suspendue par les poignets, en position d’impuissance complète, les pieds ballants à quelques centimètres de terre. Elle continua de parler : « Ces coups de verge que je vais te ...
    ... donner, comme je te l’ai dit, ce n’est pas tant une punition qu’une preuve de soumission que j’exige. Quand tu partiras de chez moi, tout à l’heure, tu en porteras la marque. Quand tu voudras t’asseoir, cette semaine, la douleur te rappellera que tu es ma chose. Que pour toi, désormais, rien d’autre ne doit compter que de m’obéir. Es-tu prête à recevoir mes coups ? » Elle parlait d’une voix si douce, envoûtante comme le chant d’une sirène. C’était comme une prière. Une cérémonie sacrée. Une sorte de baptême de douleur par lequel j’aurais accès à la vie nouvelle qu’elle m’avait fait connaître. J’eus alors vraiment envie de ce châtiment qu’elle m’offrait avec une telle gentillesse. - « Oui, Monica. Je suis prête ! » - « Supplie-moi de te frapper. Je veux t’entendre réclamer mes coups. » - « Monica, ma maîtresse adorée, je veux que vous me frappiez. Je veux porter votre marque. Frappez-moi... Frappez-moi, je vous en prie ! » Le premier coup s’abattit en travers de mes fesses, dans un pincement sec, qui creusa dans mes chairs une mince fente rouge. La douleur fit comme une brûlure. Je parvins avec peine à retenir mon cri. Puis vint le deuxième coup, plus cinglant encore. Je mordis mes lèvres pour ne pas crier. Je sentis un spasme dans mon thorax, incapable de maintenir le rythme de ma respiration. Puis, un autre déchirement. Spasme. Étourdissement. Et mes fesses que je sentais enfler jusqu’à l’éclatement. Un autre coup. Et le dernier enfin. J’avais les dents serrées, mais j’étais très ...
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