1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°704)


    Datte: 20/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – Chapitre 1 - Gare de Genève – Cornavin jeudi 14 Avril, 10 h 53. Je suis là debout, dans l’allée centrale de ce wagon TGV, près du Maître, à attendre un ordre, à attendre que Monsieur le Marquis veuille bien se lever de son siège. Le train vient d’arriver en gare de Genève-Cornavin. Tous les voyageurs sont en train de descendre. Nous deux, sommes les derniers dans cette voiture. Les doigts de Monsieur le Marquis d’Evans s’agitent et pianotent rapidement un texto. A qui ? Que fais-je là ? Pourquoi Genève ? … Ce matin, Walter, le Majordome du Domaine de Monsieur le Marquis, le fidèle parmi les fidèles, nous a conduit, tôt, depuis le Beaujolais, à la gare de Lyon Part-Dieu ! Aucune explication m’a été donnée - Un chien mâle soumis, qui plus est, esclave MDE, n’a rien à savoir, ça va de soi ! Il m’a juste recommandé d’être servile, docile, respectueux et bien obéissant tout en me menaçant de très sévères punitions, si tel n’était pas le cas… A bon entendeur… Le wagon est vide, le Maître regarde une dernière fois son téléphone, comme désespéré puis se lève rapidement et me lance sur un ton impatient : - On y va ! Prends les deux grosses valises, Endymion MDE ! Endymion MDE, c’est mon nom d’esclave, celui que m’a attribué le Maitre, peu après mon arrivée au Château, avec un privilège tout à fait particulier, celui de porter ces Nobles Initiales « MDE », en échange d’une extraordinaire dévotion et vénération et d’une définitive ...
    ... appartenance. Nous descendons du wagon et regagnons le grand hall. Le Noble emprunte un escalator, je le suis encore. Il se retourne en me disant : - Non, toi l’escalier ! Les chiens de ton espèce ne méritent pas un escalator … Dieu que ces valises sont lourdes, que contiennent-elles ? Là encore, je n’en sais rien. Je grimpe l’escalier quatre à quatre, et souffle comme un bœuf arrivé à l’étage supérieur ! Pourquoi ces bagages n’ont-ils pas de roulettes ? Je rage un peu en moi-même… Le Maître, d’un pas pressé, se dirige et entre dans une brasserie, Il me demande de le suivre. Il s’assied devant une petite table ronde. - Tu restes ici, debout, près de moi ! Le serveur arrive, tenant d’une main un plateau, de l’autre, un linge humide qu’il passe rapidement sur la table, pour ôter quelques miettes et traces de café : - Bonjour Messieurs, qu’est-ce que je vous sers ? Interroge-t-il - Un café et un croissant s’il vous plait ! Lui répond le Maître. - Et pour Monsieur ? Me lance le serveur - Lui ne prendra rien ! Répond le Maître. Je suis là, debout tête basse, servile et attentif, entouré des deux grosses valises que j’ai eu le droit de poser à terre. Le Maître silencieux regarde sans cesse son portable. Le serveur revient avec la commande… - Voilà pour vous Monsieur, cinq francs (suisse), s’il vous plait ! Le Maître sort de son portefeuille bien garni, un billet de dix francs suisses et commence à déguster son croissant. Le serveur me regarde, comme étonné de me voir planté debout ...
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