1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°704)


    Datte: 20/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... forgé. Au rez-de-chaussée, dans le hall d’entrée, se trouve un escalier imposant en granit, quelque peu austère. Nous ne montons pas à l’étage mais traversons deux salons en enfilade dont un avec une immense cheminée. Les murs sont peu décorés, le mobilier très sobre, créant une atmosphère stricte sinon monacale, rien à voir avec le Château de Monsieur le Marquis, ici point toiles de maitres, point de tentures d’époque ! Nous empruntons un petit couloir puis au bout de celui-ci, Monsieur Armand ouvre la porte. - Voilà ta chambre mon cher Edouard, celle-ci me semble la plus intéressante de toute la maison, car elle donne accès à une généreuse terrasse donnant sur le parc et plongeant sur le lac ! J’ai pensé que tu devais avoir la meilleure chambre de la maisonnée ! La chambre est grande, spacieuse et lumineuse. Un immense lit est adossé à un mur de pierre, à côté trois fauteuils « crapaud », avec une petite table basse, dans un angle un grand bureau sur lequel est posé un téléviseur. - Et puis tient regarde mon cher Edouard Monsieur Armand ouvre une porte de placard, rien d’exceptionnel à première vue, une belle penderie, et des rayonnages sur un côté, mais lorsqu’il fait coulisser un panneau de bois à l’intérieur même de ce placard, je découvre derrière celui-ci, caché, une cage avec ...
    ... de lourds barreaux d’acier, suffisamment longue et large mais pas très haute, ne permettant pas de tenir debout. - J’ai pensé que ton chien serait bien ici installé… A moins que tu veuilles t’en débarrasser et ne pas le garder avec toi ? - Il sera très bien ici, merci de l’attention que tu lui portes ! Ces quelques mots m’apportent quelques informations… Je vais rester ici avec le Maître, Il ne va pas m’abandonner ou me céder. C’est un peu ce que je craignais, dois-je l’avouer ! - Qu’attends-tu mon chien pour remercier notre hôte, témoigne lui toute ta gratitude pour cette délicate attention ! Je m’empresse et me prosterne rapidement mais impeccablement aux pieds de Monsieur Armand. Je retiens in extremis un petit gémissement lorsque le gode fourré dans mon cul me rappelle gentiment sa présence. Je l’avais oublié celui-ci, où presque… Mais le fait de me mettre en levrette, l’objet s’est déplacé et appuie maintenant sur ma prostate. Mais je n’ai pas trop le temps de m’attarder sur mes profonds ressentis quelque peu douloureux, une main glisse sur mon jean, me caresse le cul puis s’égare entre mes jambes. - Houlà, il y a de l’équipement là-dessous ! lance Monsieur Armand. - Il est encagé ! Lui répond le Maître sobrement - Je peux voir ? - Evidemment mon Ami, cela va de soit… (A suivre …) 
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