1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°704)


    Datte: 20/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... avec la tête baissée. - Ici on peut s’assoir, même lorsqu’on ne consomme rien ! me lance-t-il - Il est préférable qu’il reste debout, lui répond le Maître Le serveur hausse les yeux et les épaules et repart sans plus rien dire… Ce matin, Madame Marie, s’est occupé de moi de très bonne heure. Elle m’a sorti du cachot n° 4, puis lavé de pied en cap. Ensuite, elle m’a rasé et épilé soigneusement. Désormais, je suis totalement glabre du cou jusqu’aux pieds. Juste avant de me faire habiller, Madame la Cuisinière m’a posé une cage de chasteté sur ma nouille, puis enfoncé dans mon intimité un petit plug tenu ancré au fond de mes entrailles par un harnais ceinturant ma taille. J’ai enfilé ensuite un jean slim fit straight, tout neuf, serrant mes hanches et mes cuisses et mettant en exergue ma virilité encagée. Puis elle m’a fait porter une marinière manche longue, assez étroite épousant mon corps, et un peu courte, arrivant juste au-dessous de mon nombril, sur laquelle elle m’a fait mettre un petit blouson de toile de couleur bleu marine. Mes pieds nus sont chaussés d’une paire de tennis en toile de la même couleur que celle du blouson. Je suis très chic… et rien ni personne ne peut laisser présager ce que je suis : un esclave ! Hormis, peut-être, ce petit collier, une simple petite chaine métallique discrète autour de mon cou. Le Maître, lui aussi a opté pour une tenue décontractée. Il est en jean, avec une chemise blanche et un blaser sur lequel au niveau de la petite poche externe ...
    ... gauche, sont brodées Ses Armoiries. Le Noble vient de finir son café et son croissant, du bout des doigts, Il cueille sur la table les quelques miettes laissées de sa viennoiserie, puis me tend ses doigts. - Tiens mon chien, mange ça ! Je me penche, ouvre la bouche et prend la béquée. Le serveur derrière son comptoir a vu la scène, il semble sourire. Sans doute étonné, il hausse encore les épaules. Soudainement le téléphone de Monsieur le Marquis se met à vibrer. Il lit le texto reçu. - On décampe d’ici, suis moi salope ! me lance-t-il. Nous sortons de la brasserie et dans le hall de la gare, je vois un homme, assez grand, dans un complet noir, chemise blanche et cravate, tenir un petit écriteau avec inscrit dessus « Monsieur le Marquis d’Evans ». Rapidement, le chauffeur nous conduit à son véhicule, une grosse berline noire ! Il déverrouille le coffre afin d’y installer les deux grosses valises, puis ouvre la porte arrière gauche. Le Maitre me fait un signe de la tête, je comprends alors que je dois monter dans le véhicule. Je me glisse sur le siège, suivi de près par le Maître. Mon jean est tellement serré et moulant qu’en m’asseyant je m’écrase les burnes. Je tente de remettre mon paquet en place mais la main du Maître m’en empêche ! - Ntssst, ntssst ! me fait-il simplement ! Sans qu’une parole ne soit échangée entre le Maître et le chauffeur, la voiture démarre et part. Très vite nous longeons le lac Léman. J’entraperçois le jet d’eau, culminant à quatre-vingt-dix mètres ...