La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°704)
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de haut et la beauté du paysage suisse avec ses proches montagnes. Destination Genève – Cologny. La voiture a pris la direction de Cologny, une petite commune très résidentielle, située sur un coteau dominant le Léman et toute proche de Genève. Je regarde de nouveau le paysage, et rêvasse tranquillement, jusqu’au moment où la main du Maître vient se poser sur ma cuisse gauche et me caresse. Instinctivement, je m’offre et m’écarte, ma bite frémit et cherche à se déployer. Je la sens grossir et s’épaissir. Mon gland tenu décalotté appuie douloureusement contre les parois grillagées de ma cage. Je reste stoïque, me laisse faire sans broncher. Mes couilles, toujours broyées, me font mal. Mais j’aime avoir mal, cette douleur physique m’apporte un tel bonheur mental masochiste… La voiture ralentit, elle tourne à gauche, et remonte une petite rue. Là, de part et d’autres, des villas, toutes plus luxueuses les unes des autres. Je me retourne et vois le lac Léman en contrebas. Superbe ! Le clignotant du véhicule indique que nous allons encore tourner, cette fois-ci sur la droite. L’automobile longe un haut mur d’enceinte puis s’immobilise devant un grand portail métallique. Il s’ouvre automatiquement. Pendant tout le trajet, aucun de nous trois n’avons parlé. Ce silence total est surprenant, inquiétant, peut-être même angoissant. Une allée gravillonnée nous conduit devant une maison bourgeoise où les murs sont tous ornés de glycines rampantes. Cette demeure a été construite sans ...
... doute au tout début du vingtième siècle, sur une belle parcelle. Le terrain est joliment arboré, avec une terrasse et un bâtiment indépendant sur deux niveaux à usage, pour le rez-de-chaussée tout au moins, de garages. Le chauffeur s’empresse de descendre et d’ouvrir la porte arrière du véhicule. Le Maître descend et me fait signe de le suivre. Je récupère les bagages déposés dans le coffre. Un homme accourt, à la rencontre de Monsieur le Marquis en levant les bras au ciel. - Mon Cher Edouard, ah enfin ! Bienvenue en Suisse ! - Bien le bonjour mon très cher Ami Armand, tu sembles être en pleine forme et toujours aussi jeune. - Tu parles… Mes vieux os, hélas, me rappellent que je n’ai plus vingt ans. Sans suit une généreuse et sincère accolade amicale. Monsieur Armand, la soixantaine, cheveux grisonnant, un peu bedonnant, les yeux clairs et vifs ne s’intéresse point à moi, il m’ignore même totalement. - Je suis très heureux de te revoir Edouard, - Et moi donc mon Cher Armand… - Tu es le premier à arriver ! La conversation se poursuit, je reste un peu à l’écart… Le Maître et Monsieur Armand commencent à marcher ensemble en direction de l’impressionnante bâtisse, tout en discutant. Moi je reste planté là, avec mes deux valises à bout de bras, ne sachant que faire, bêtement immobile. Mais soudainement le Maître se retourne et me hèle. - Allons Mon chien, qu’attends-tu pour me suivre ? L’accès à la maison se fait par une charmante entrée d’époque « art-déco », mêlant verre et fer ...