1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    ... nécessaire de couture. Chez nous, je lui demande de disparaître un instant et j’arrange dans le maillot une boule de tissu censée représenter le sexe que je n’ai pas. En enfilant le maillot, je m’aperçois que la boule appuie sur mon clitoris me procurant une sorte de plaisir diffus. Il est ravi, m’enserre dans ses bras et décide de partir illico vers la plage. Extrait n° Vingt et Un Bon ! Ce n’est pas si simple pour moi de me promener torse nu au milieu des autres filles qui portent un haut. D’abord, je n’ai pas l’habitude ; avec Marc on n’est pratiquement jamais allés à la mer et nous n’y avons jamais pensé. Ensuite, je suis une fille malgré les apparences. À chaque instant l’air frais sur mes seins me rappelle que je suis torse nu et le bout de mes seins durcissent de façon arrogante. Néanmoins Pierre me fait remarquer que les garçons ne me regardent pas, en tous cas comme objet sexuel, et les filles baissent les yeux ou me regardent effrontément. — C’est à toi de les regarder comme si tu les déshabillais me dit-il, comme si tu avais envie de les prendre. Mais au bout de quelques jours c’est venu ! Je m’aperçois que je désire vraiment certaines filles et Pierre ne manque pas une occasion de m’expliquer comment un garçon se comporterait avec telle ou telle. Le soir nous nous échappons bien vite sous notre toit, dans un coin solitaire de la plage, ou quelque part dans la pinède. Et là, nous faisons le bilan en riant et Pierre me prend comme à son habitude. Je suis tellement ...
    ... habituée à cette sexualité anale et tellement satisfaite que je n’éprouve presque plus de sensation ou de besoin au niveau de mon vagin. Extrait n° Vingt-Deux Voici deux semaines que nous sommes ici et que je suis sensée, pour les autres, être un garçon, et ça marche ! J’ai dû acheter un autre maillot de bain, affaire de ne pas porter toujours le même. À la demande de Pierre, j’ai augmenté le volume et la dureté de mon rembourrage. Conclusion, cela appuie plus fort sur mon clitoris, me maintenant en état d’excitation presque permanent. Du coup je regarde plus souvent les filles et les déshabille du regard. Il me semble parfois que j’ai vraiment envie d’aller plus loin avec certaines. Je l’ai dit à Pierre, il m’a regardée à bout de bras d’un air malin pour finir par s’exclamer : — J’avais finalement raison, tu ressembles de plus en plus à un garçon, tu en as la démarche, le regard, les envies. Et, ô miracle, il a passé lentement les mains sur mon torse bruni par le soleil, sur mes bras, mes épaules dont les muscles ont épaissis du fait de notre sport quotidien. Il a fallu que je me tienne à carreau pour ne pas jouir immédiatement sous ces caresses dont j’avais perdu l’habitude. Aujourd’hui il m’emmène à Bayonne. Je suis habillée d’un short et d’un chemisier. Des touristes – hommes - se promènent torse nu en short. Alors j’enlève de moi-même mon chemisier. Pierre n’attendait que cela, il me lance un regard admiratif qui me ferait faire n’importe quoi, et me dit à l’oreille : — ...
«12...131415...19»